La querelle opposant Voltaire et Rousseau
Étude de cas : La querelle opposant Voltaire et Rousseau. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar margault • 19 Février 2017 • Étude de cas • 407 Mots (2 Pages) • 1 365 Vues
La querelle entre voltaire et rousseau
Voltaire et rousseau, ecrivan du XVIIIe siècle sont deux genes que tous oppose en effet: Voltaire, écrivain caustique et brillant causeur, symbole du raffinement aristocratique de l'Ancien Régime, et Jean-Jacques Rousseau, génie torturé par l'écart entre ses idéaux moraux et sa difficulté à vivre dans la société des hommes.
Durant le siècles des lumières, plusieurs idéologies étaient présentents voltaire et rousseau eux, était a l’opposé l’un de l’autre.
Voltaire, écrivain caustique et brillant causeur, symbole du raffinement aristocratique de l'Ancien Régime ; s'accommode des inégalités sociales et de l'absolutisme monarchique lorsque celui-ci respecte les « philosophes » tels que lui. Côté Voltaire, l’obsession de réussir. L’homme travaille nuit et jour à construire sa renommée, ses réseaux, sa fortune et son pouvoir, qui tous finissent par être considérables. Avide de briller, de batailler, de rire et de jouir, il fait l’éloge du luxe et de la propriété, multiplie les bons mots et les conquêtes féminines.
Côté Rousseau, le monde des petites gens. Jean-Jacques est laquais, secrétaire, copiste de musique, se méfie des raffinements excessifs et les juge pervers. Taraudé par la pureté, habité par le désir impérieux d’avouer tout ce qu’il a fait, Rousseau cherche à se rendre transparent, à se faire aimer en se montrant tout entier. Mais au contraire, Jean-Jacques Rousseau est un esprit tourmenté, sensible à la misère du peuple et aux injustices sociales. il formule un message politique qui aura une très grande influence sur les générations suivantes, à savoir : l'homme est naturellement bon et a été corrompu par la vie en société et l'établissement du droit de propriété ; pour remédier à cette corruption, il importe d'instaurer la démocratie.
Ces deux philosophe
Le debut de cette qurelle qui marque le siècle des lumieres fut Le 1° novembre 1755, un tremblement de terre, suivi d'un raz-de-marée et d'un incendie, ravagea Lisbonne. On compta plus de 50.000 victimes. Voltaire, saisi par une émotion indiscutable, y vit néanmoins l'occasion de réfuter les thèses optimistes. Ce courant, représenté par Leibniz, Pope et Wolf, affirme que le monde créé par Dieu est organisé par la Providence de manière à ce qu'un Mal nécessaire, en proportion infime, soit compensé par un Bien toujours plus grand. La formule que Voltaire caricaturera à plaisir dans Candide « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles » incarne à vrai dire à ses yeux le danger redoutable du fatalisme et de l'inaction.
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