Commentaire De texte sur le recueil Les contemplations de Victor Hugo
Dissertations Gratuits : Commentaire De texte sur le recueil Les contemplations de Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar philogirl • 23 Novembre 2014 • 1 280 Mots (6 Pages) • 5 572 Vues
INTRODUCTION:
Chef de file d'un mouvement littéraire, Victor Hugo fut un homme littéraire les plus célèbre du 19ème siècles. Ses romans tels que "Les misérables", "Notre Dame de Paris", furent autant appréciés que ses pièces de théâtre "Hernani" ou encore "Ruy Blas". Il se distingua dans un autre genre, la poésie. Le poème que nous apprêtons à analyser, intitulé, "Elle était déchaussée, elle était décoiffé", est extrait se son recueil intitulé "Les contemplations".
Nous analyserons cet extrait en 3 partie, dans un premier temps, la présentation des personnages, puis dans un deuxième temps, nous verrons l'omniprésence de la nature, et enfin dans un troisième temps , nous analyserons, la mise en scène de l'amour.
I) La présentations des personnages
A. Description physique et morale de la jeune femme
- Elle est désignée par le pronom personnel ''elle", le nom de la jeune femme est inconnue, son nom n'est pas citée.
- Dés le 1er vers: une description physique de la jeune femme est fait, ''elle était déchaussée, elle était décoiffée", "les cheveux dans les yeux"
- Le poète décrit la jeune femme élogieusement en utilisant des adjectif mélioratifs: ''regard suprême" (v.5), "beauté" (v.6), "belle" (v.11-15).
- La jeune femme est comparé, par une métaphore, à une fée "je cru voir une fée" (v.3).
- Le poète la décrit moralement aussi, en utilisant des adjectifs qualificatifs qui la qualifie comme "joyeuse", "folâtre", sauvage", "effarée"
- La jeune femme est représenté comme une personnes mystérieuse, car son nom n'est pas donné, mais aussi le verbe "crus voir" montre que le poète n'est pas sur de ce qu'il voit.
B. La description du poète
- Le poète est désigné par le pronom personnel "je" et par "moi"
- Il est seul à voir ce jeune femme "je crus voir", tout au long du poème il ne fait que décrit la jeune femme. Malgré qu'il n'est pas sur de ce qu'il voit, il pose à la jeune femme des questions "veux-tu t'en venir dans les champs" (v.4), "veut tu nous (...) en aller sous les arbres profondes ?" (v.8).
- Ces questions sont sont dite en discours direct, malgré que la jeune femme ne lui répond pas, il continue de posé ces questions, il invite la jeune femme à venir avec lui.
- aucune description du poète est faite. on perçoit que ses sentiments, à travers de ces phrases exclamatifs "comme l'eau caressait doucement le rivage !", et à travers ces description de la jeune femme.
II) L'omniprésence de la nature/ Une structure omniprésente
A. Le rôle de la nature:
- Le champs lexical de la nature est présente, dans chaque strophes la présence de al nature à un rôle différents:
*Dans le 1er strophe "joncs penchantes", "fée", "champs" = la nature est à pour rôle du coup de foudre, la jeune fille apparaît, la jeune femme fait désormais partie du cadre de la nature.
*Dans le 2ème strophe "arbres profonds" le poète invite la jeune femme à venir avec lui.
*Dans le 3ème strophe " l'herbe de la rive au fond des bois", la présence des "oiseaux chantaient", dans ce 2 strophes. La douceur de la nature encourage l'amour naissant entre la jeune femme et le poète.
*Enfin dans le 4ème strophe, le bruit de la nature est présent "l'eau", "rivage", "sauvage", "oiseaux", "roseaux vert" reflétant la douceur de l'amour.
B) La nature
- La nature est omniprésente dans tout le poème, la nature est un rôle bien précis dans ce poème sont rôle est d’encouragé l'amour naissant entre le deux personnes, en utilisant pour cela le champs lexical de la nature: "joncs", "arbres"....
- La nature reflète aussi le désirs du poète avec la personnification "comme l'eau caressait doucement le rivage", "l'eau" est comparé à une main et le "rivage" à un visage
- La nature est aussi le complice de la jeune femme "le pieds nus parmi les joncs",
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