Résumé de la vie de Apollinaire

Résumé de la vie de Apollinaire

Apollinaire qui de son vrai nom Guillaume-Albert-Wladimir-Alexandre-Apollinaire Kostrowitzky est un Italien né à Rome d’une mère polonaise et d’un père italien. Il ne connut jamais son père est se rattacha donc à son ascendance maternelle. Il eut un frère. Il choisit ce pseudonyme en référence a son grand-père russe. Apollinaire s’assimila rapidement au dieu de la poésie et du soleil, Apollon.

Il exprime cette vie sans père dans le poème « le Larron ». Apollinaire passa ensuite par l’Allemagne en 1901 où il écrivit la section des « Rhénanes » fortement inspiré par sa première passion étant les légendes médiévales, la magie et la démonologie. Puis passant des Ardennes à Paris où il s’installa près de la but Montmartre. Il développa son intérêt pour la mythologie européenne retranscrit dans « zone » et le cycle des « Rhénanes » mais aussi sa passion pour les mots rares. Apollinaire écrivit aussi beaucoup de nouvelles érotiques telle que « la porte » qu’il publia sous le manteau pour se faire des l’argent. Il acquit la nationalité française que très tard en 1916.

La vie d’Apollinaire fut rythmée par de nombreuses amourettes tout d’abord en Allemagne avec Annie Playden qui rompus le contact avec luis en partant à Londres. Il lui dédia d’ailleurs quelques poèmes comme « la chanson du mal-aimé », « les colchiques », « Annie » et « l’émigrant de Landor Road ». Il développa ensuite un nouveau désir amoureux Pour Marie Laurencin retranscrit dans « le Brasier » avec qui il rompus en 1912. Il lui dédie les poèmes « Pont Mirabeau », « Zone », « Marie » et « Cors de chasse ».  Il voit ici sa vie amoureuse comme une fatalité. Il entama un Liaison Avec « Lou » par la suite rencontré à Nice qui préféra ensuite aller voir ailleurs. Il finit par tomber amoureux de Madeleine Pagès mais rompus avec elle en 1916 pourtant sur le point de l’épouser. Il finit ses jours avec Jacqueline Kolb, épousé en 1918. Apollinaire meurt 6 mois plus tard des ses blessures de guerre.

Il fut largement influencé dans ses poèmes par ses rencontres dans le domaine de l’art en fréquentant des cafés ou il rencontra Alfred Jarry, Max Jacob, Paul Fort ou André Salmon avec qui il créa la revue « Le festin d’Esope ». Ce sont surtout les peintres Derain, Vlaminck mais surtout Picasso avec qui il devint très proche qui l’influencèrent. Apollinaire fut un éternel passionné de la quette de modernité et de comme il le dit si bien « L’Esprit Nouveau ». Il était passionné par le cubisme et le fauvisme. Il recueillit ses poésies dans deux recueils majeurs « Alcools » 1913 et « Calligramme » 1918.

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