Article simplifié journal mort JFK
Résumé : Article simplifié journal mort JFK. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lesnulenfrancais • 1 Décembre 2023 • Résumé • 737 Mots (3 Pages) • 132 Vues
C’est sous l’œil horrifié de plusieurs centaines d’Américains et au côté de sa femme que le président des Etats-Unis, John Fitzgerald Kennedy s’est écroulé frappé à deux reprises par des balles assassines.
Pourtant, la journée de ce chef d’Etat avait bien commencé.
Arrivé à 11 h 33 sur l’aérodrome Dallas Love Field, il était arrivé à bord de son avion présidentiel avec à son bras sa femme, Jacqueline Kennedy. Bon nombre de photos de lui ont été prises, arborant un sourire satisfait sur son visage devant le bon déroulement de sa campagne préélectorale.
Mais ce n'est certainement pas de ces clichés dont les générations futures se souviendront lorsqu’on leur parlera de la journée du 22 Novembre 1963.
Qui aurait pu prévoir que pas moins d’une heure plus tard, sous le rayonnant soleil texan, le plus jeune président des Etats-Unis aurait rendu son dernier souffle.
11 h 55, le président et sa femme, Jacqueline Kennedy ont pris place sur la banquette arrière de leur splendide Lincoln Continental décapotable, accompagnés de John Connally, le gouverneur du Texas et de sa femme. Le toit du cabriolet avait été abaissé afin que JFK puisse avoir un contact direct avec la foule, ce qu’il priorisait par-dessus tout. À noter que la visite de Dallas était pour lui un enjeu majeur, car cette ville était plutôt hostile à son gouvernement.
Pour ceux n’ayant pas suivi l’actualité de ces dernières années, cette ville est notamment connue pour prôner la ségrégation dans ces quartiers, or Kennedy avait décidé un an auparavant d’y mettre un terme. Ce voyage était donc plus qu’utile et symbolique pour sa tournée et son parti.
La voiture devait traverser la ville afin d’emmener le président au Dallas Market Center. La foule était en délire, servant des saluts fervents au cortège, tous étaient heureux de voir le président et son épouse et aucun signe d’animosité avait été aperçu.
Notre journaliste, envoyé sur place pour cet événement, nous a même affirmé que le président est, à deux reprises, descendu de son véhicule pour aller serrer des mains à des passants.
C’est vers 12 h 30 que l’horreur se produisit. La Lincoln ayant ralenti pour s’engager sous un pont de chemin de fer, trois coups de feu ont retenti.
Un premier tiré en direction du président, mais n’ayant pas atteint sa cible, blessant un civil au passage. Un deuxième coup atteignit le président, ce dernier se tassant sur son siège portait ses mains à gorge tandis qu’une dernière balle l’atteignit à la tête. Le président s’effondrait, immaculé de sang sur les genoux de sa femme qui criait de désespoir. L’image de Jacqueline Kennedy, rampant sur le coffre arrière de la voiture dans le but de trouver de l’aide est effroyable et restera marqué dans la mémoire de nombreuses personnes.
En face d’eux, le gouverneur touché aussi par une balle s'était tapi sur le plancher de la voiture, sa femme le soutenant.
Dans la foule il ne fallut qu’un instant pour comprendre ce qu’il venait de se passer : un attentat contre le président venait d’avoir lieu, et ce dernier était peut-être mort.
Le cortège s’est alors immédiatement dirigé vers le Parkland
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