La Chanson De Craonne
Mémoires Gratuits : La Chanson De Craonne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar massimo • 14 Mai 2015 • 1 536 Mots (7 Pages) • 1 442 Vues
HISTOIRE DES ARTS : LA CHANSON DE CRAONNE
Introduction :
Je vais vous parler de la chanson de craonne rédigéé en 1917 dans la première guerre mondiale. Son auteur est resté anonyme pour des raisons évidentes liées à son contenu et à la censure. cette chanson relativise les relations entre les soldats, les supérieurs et les ennemis ... Cette chanson explique l'état d'espris des soldat (ce qu'ils pensent resssentent) cet une chanson antimilitarisme pour le pacifisme.
Présentation :
- Il s’agit d’une chanson créée en 1917. L'auteur ne se vante pas de son oeuvre et reste discret sur son identité (pour des raisons évidentes liées à son contenu et à la censure. La hiérarchie militaire aurait, selon certaines sources, offert un million de francs-or et la démobilisation à toute personne qui dénoncerait les auteurs de la chanson). Il s’agissait sans doute d’un soldat mobilisé pendant la première guerre mondiale Elle est apprise par cœur et se diffuse oralement de manière clandestine. Les paroles ont été recueillies par R. Lefèvre et Paul Vaillant-Couturier, sur l'air d'une valse à succès "Bonsoir m'amour" (1911- Charles Sablon)
Contexte :
1917, Première Guerre mondiale. La « guerre des tranchées », s’éternise. Les soldats sont épuisés et traumatisés par la violence des affrontements et les conditions de vie atroces dans les tranchées. La première guerre mondiale devient longue tous les soldats sont las de cette guerre ou leur vie est toujours menacée. Cette guerre fait râge depuis trop longtemps des mutineries éclat des chanson sont faîtes pour remonter le morale au troupe comme la chanson de craonne qui critique le gouvernemente ect.... ces chansons sont repeter et aprise de bouche a oreille , l'auteur est anonyme mais c'est sûrement un soldat.
Présentation de l'oeuvre et de l'auteur :
l'auteur est annonyme il na pas révéler son identiquer car son oeuvre est une chanson qui insulte l'état, cette chanson est pour les muttineries je peux e prouver grace a cette phrase dans le premier couplet vers 6 " personnes ne veut plus marcher" ou encore dans le derniers couplet de cette chanson Ceux qu'ont l'pognon, ceux-là r'viendront,Car c'est pour eux qu'on crève.
Mais c'est fini, car les trouffions Vont tous se mettre en grève. Ce s'ra votre tour, messieurs les gros, De monter sur l'plateau, Car si vous voulez la guerre,
Payez-la de votre peau !" cet auteur est donc un soldat comme je vous le disait précédemment. Il se cache car il insulte l'état donc il risque la peine de mort .
L'oeuvre a été faite pour remonter le morale des troupes partager ce que pense les soldats et montrer la vériter a l'arrière et a l'état que les force militaires ne son pas des pions que l'on agite et que l'on met o on veut non, les soldat son aussi pourvu de sentiment et d'intelligence donc cette ouevre est faites pour dire stop au bêtise de l'état aussi nn une autres guerre civiles pourrait éclater.
Analyse de l'oeuvre :
COUPLET 1 :
Les éléments du champ lexical de la guerre apparaissent dès ce premier couplet. Contexte posé immédiatement. Les soldats viennent de terminer leur repos d'une semaine (« huit jours »), à l'arrière. « le coeur gros », « avec des sanglots », « en baissant la tête » : marques de la résignation et du désespoir. « utile » est à lire de manière ironique. » car la guerre s’éternise malgré les millions de morts. D’ailleurs « utile » vient s’associer à la rime avec « pile » (qui signifie « défaite »). L’auteur ne parle pas seulement pour lui mais pour l’ensemble de ses camarades, les poilus : c’est un groupe homogène qui partage le même langage, l’argot des tranchées, mais aussi le même sentiment d’exaspération et de désespoir. C’est ce que montre l’emploi des pronoms indéfinis « on », globalisateur, et « personne ». Climat d’exaspération qui a donné lieu aux mutineries et au refus de grimper au front en 1917: « ne veut plus marcher » physiquement mais aussi idéologiquement (personne ne veut plus croire à la fin de cette guerre et à la validité des stratégies du haut commandement). Désespoir car mort inéluctable : double sens du dernier vers « On s’en va là haut » : sur le plateau de Craonne mais aussi dans l’au-delà.
REFRAIN :
Le refrain est un chant d'adieu à tout ce que représente la vie pour les poilus, et notamment « l'amour », « les femmes ». L’anaphore souligne ce registre pathétique.
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