RESUME ARTICLE FORBES CONSTRUCTION DURABLE

Cet article du magazine Forbes nous introduit la possibilité de construire autrement, de manière à ne pas mettre en péril l’avenir de notre planète ainsi que notre qualité de vie. Le secteur de la construction étant un secteur particulièrement polluant, Quelles sont les perspectives d’avenir afin de construire mieux et d’ancrer nos constructions dans notre environnement ?

Tout d’abord, les états doivent prendre les mesures nécessaires à la conservation de notre environnement. C’est dans cette logique là que les 17 Objectifs de Développement Durable adoptés par les Nations Unies sont une prémices du changement essentiels qui doit se mettre en place.

Effectivement la croissance démographique ne cesse d’augmenter et donc sa consommation aussi.

Le domaine de l’immobilier nécessite un renouvellement, particulièrement dans le secteur de la construction. Les différents acteurs doivent alors se diversifier de manière à désintégrer la pollution de leur construction.

L’immobilier est comparable à un éco système et donc il est appréciable d’utiliser des matériaux durables, intégrer une économie locale et circulaires afin de mettre en avant une construction basse carbone. La durabilité et le confort d’usage est un premier élan à la croissance du secteur. Cette manière de construire qui intègre différentes innovations et optimisation permet une augmentation de valeur qui n’est pas à sous-estimer aujourd’hui.

Les bilans de pollution qui sont fait nous permettent donc d’adopter des stratégies de réduction des activités énergivores et extrêmement polluantes. Les entreprises sont des acteurs de premier plan dans ces stratégies. Et c’est dans cette optique là que le secteur du bâtiment peut ET doit être un pilote dans ces changements, étant un émetteur conséquent de gaz à effet de serre.

À la suite d’une prise de conscience collective, plusieurs certifications et labels ont été créés. La certification Cradle to Cradle permet une offre une « méthode de changement de pratiques par la promotion de produits recyclables à faible impact environnemental et la responsabilisation de la politique achat ». Ensuite, un mécanisme de développement à été introduit par l’accord de Kyoto, de ce fait les entreprises qui réduiront leurs émissions de CO2 dans les pays émergents bénéficieront de crédits- carbone. L’image des entreprises est très importante et c’est dans cette optique là que les critères ESG seront intégrées. Selon les pays, diverses certifications ont été créés, elles se basent sur des critères tels que le respect de l’environnement, la qualité de vie…

En France, la Tour Saint Gobain à Paris, triplement certifié, est le parfait exemple de ces mesures. Effectivement c’est un bâtiment à très haute performance énergétique construits avec des matériaux faiblement émissifs et a connu une très bonne insertion dans le territoire.

Au-delà des frontières, tel qu’à Séoul ou Pittsburgh le secteur public impulse une politique bas-carbone afin que le secteur privé emprunte le même chemin.

Enfin, il est nécessaire d’intégrer nos bâtiments en harmonie avec la nature, tel que le projet BOSCO à Milan, en végétalisant nos immeubles et nos villes. Tous les acteurs doivent se sentir concernés et s’inclure dans le changement.

...