Les femmes et la presse
Fiche : Les femmes et la presse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Laura Luc • 8 Avril 2018 • Fiche • 4 882 Mots (20 Pages) • 546 Vues
Les Femmes et la presse: Stéréotypes, représentations.
Interview d’une femme journaliste :
qu’est-ce qu’il lui a donné envie d’exercer cette profession
son parcours
obstacle en temps que femme ?
témoin de difficulté des femmes journalistes ?
égalité homme-femme respecté ?
Intro avec mini bio de la personne et analyse de l’entretien, ce qu’on en tire avec conclusion ( forme d’un article ).
I/ Stéréotype et représentation
Stéréotype : l’étymologie de stéréotype vient du grec. Il est composé de stéréos « solide, substantiel, vigoureux » et tupos « caractère d’écriture, coup, empreinte, marque, modele »
de base utilisé dans l’imprimerie, idée de répétition. au XXe prend un sens figuré qui veut dire : une opinion toute faite
Définition générale : en son sne figuré aujourd’hui le plus utilisé, le stéréotype est une idée toute faite accepté d’office sans être remise en question par une pers ou un groupe. Le stéréotype attribue des caractères particuliers à une pers, un groupe ou un objet en fonction de la culture particulière dont il est issu.
Stéréotype ne repose sur aucun critère scientifique, il facilite la vie sociale en proposant des perception partagé par un grand nombre même si elles sont partiellement ou totalement inexactes. Le stéréotype est une simplification d’autrui et c’st même sa raison d’être, il donne l’impression de connaitre un groupe sociaux.
Théorisé en 1er par Lippman, dans son ouvrage sur l’opinion publique « la notion de stéréotype s’applique aux opinions et représentations sociales et renvoie aux image dans nos tête qui s’intercalent entre la réalité et la perception que nous en avons. L’observation quotidienne des attitudes et certaines expériences montrent que les stéréotypes se cristallisent souvent autour de catégories sociales.
Les stéréotypes renvoient aux images que les membres de différents groupes sociaux ont de leur propre grp (auto stéréo) e d’autres groupes (hétéro stotype). Un stéréotype est un ensemble de croyance sur n’importe quel groupe de pers
Dans le domaine des relations entre groupe ethniques, on peut définir le stéréotype comme renvoyant a une antipathie basée sur la généralisation défectueuse et inflexible. Une définition opérationnelle que l’on peut avancer du stéréotype est que la plupart des membres d’un groupe s’accordent a admettre que certains trait de caractérisent les membres d’une catégorie (humaine) ou la plupart d’entre eux.
Nos catégories de jugement sont arbitraires et se transmettent dans l’enfance et nous paraissent naturelles ou évidentes.
Nous classons les groupe et notre façon de classer n’est pas naturelle, elle est arbitraire et dépend de notre culture et de notre société a un moment donné de son histoire.
Représentation : emprunté au latin [repraesentare] « rendre présent, reproduire » et représentation « action de mettre sous les yeux » la représentation s’entend a la fois comme le fait de faire réapparaître ou d’évoquer par la pensée le jeu au moyen âge.
Définition générale : dans le domaine des sciences de l’information et de la communication « représentation » est le plus souvent utilisé en rapport avec l’étymologie latine : présenter a nouveau, rendre présent. Une acception aujourd’hui très utilisée en communication de « représentation » se comprend a partie du filtre de la psychologie et des recherches sur les représentations.
Différences entre « secrétaire » et « journaliste » : pour la première on la décrit par son physique et le dernier par son travail.
Affiches mettant en scène hommes et femmes : affiche genrée (affiche stéréotypé mais pas forcement sexiste) , affiches sexistes (homme ou femme discriminant ou péjoratif).
> Fais pas ton genre = pour discuter de l’idée de genre
Cadre: Salaire, riche, bureau, entreprise, costume, cravate, homme, supérieur/ hiérarchie, autoritaire.= Stéréotypes genre et sexiste.
Stéréotype genré
Définition: Les stéréotypes de genre sont la croyance que certaines aptitudes ou certains traits de personnalité spécifiques aux garçons d’une part, aux filles d’autres part, seraient présents dès la naissance. Avec, comme corollaire, l’idée que le matériel génétique conditionne les uns et les autres à assurer certain rôles dans la société, selon qu’on est né mâle ou femelle.
On va naturaliser les qualités qu’on prête aux sexes et a un autre, chacun des qualités liées à la nature.
Catherine Vidal, neuroscientifique: « Parmi ces idées reçues, toujours fermement ancrées dans les inconscients collectifs: les femmes seraient naturellement multitâches, sensibles, empatiques mais incapables de lire une carte routière tandis que les hommes seraient bons en maths, un peu bagarreur et attirés par la compétition ».
Les stéréotypes genré intervienne dès la naissance et même avant.
Expérience américaine des Babies X studies:
On ne parle pas sur le même ton à un bébé garçon ou à un bébé fille avant la naissance. Cette différence s’accentue à la naissance.
On a montré a des adultes des séquences comportementales au cours desquels des bébés catalogués fille ou garçons était confronté a différents jouet donc certains les faisait pleurer. Les gens n’interprétait pas de la même manière les pleurs. Lorsque s’était des filles les pleurs était catalogué quelle avait peut et pour le garçon c’était des pleurs de colère.
Notre filtre est de représentation notre monde en 2 sexes. Les comportements sont dépendants du sexe. On a essentialisation des comportements des touts petits.
Pourtant: Les études montrent que chez les 0-3 ans, filles et garçon ont les mêmes aptitudes, les mêmes fonctions cognitives: intelligence, capacités de raisonnement, de mémoire, d’attention, de repérage dans l’espace.
Mais le cerveau
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