Speak white
Cours : Speak white. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Leia Gagnon • 13 Octobre 2020 • Cours • 426 Mots (2 Pages) • 887 Vues
Dans le cadre du cours de théâtre et enjeux culturels, nous avons eu la chance d’explorer le poème « speak white » écrit par Michèle Lalonde. Nous avons pu en conclure que c’est un poème qui porte sur l’identité culturel et social des québécois, qu’il compare les différents pouvoirs entre les anglais et les français dans les années 1950. Ce poème a eu beaucoup d’impact pour les québécois français et encore aujourd’hui l’œuvre de Michèle Lalonde est bien utilisé pour représenter la réalité dans laquelle ils vivaient. Autre que la version filmée de Michèle Lalonde qui interprète son poème, un court métrage a été réalisé par Pierre Falardeau et Julien Poulin, et c’est celui-ci qui sera abordé.
La première fois que j’ai écouté le court-métrage de speak white j’ai d’abord été choqué par les images présentées par exemple celles où on voit des esclaves. J’ai trouvé le court-métrage percutant et choquant par les images choisies mais aussi par la façon dont le texte est interprété. Je crois que c’est ce que les réalisateurs souhaitaient partager comme impact, ils voulaient que les gens soient choqués pour qu’ils réalisent que ce sont des parties de l’histoire qui ont déjà existés. Comme il a déjà été mentionné, le film est constitué d’images d’archives et d’une musique dramatique et sombre qui ajoute un sentiment de stresse. Au début du film, les images représentent la bourgeoisie, les familles riches, et ensuite on nous présente les ouvriers, les hommes qui travaillent dans les mines. Le côté religieux aussi est montré sur quelques images. Il y a plusieurs images percutantes de violence comme des gens attachés ou même des armes. Le film a pour but de dénoncer « l'impérialisme économique et culturel des classes dominantes. » La manière dont la dame interprète le poème ajoute un ton sévère et lugubre. Je suis convaincue que le texte de Michèle Lalonde a touché la plupart de la population Québécoise française. Plusieurs ont pu s’identifier par rapport à l’enjeu de la langue française de leur époque. Le phénomène speak white est quelque chose que tout la population Franco-québécoise a vécu durant cette époque et nécessairement les gens ont dû avoir une réaction en lien avec le poème de Lalonde
Finalement, la version de « speak white » fait par Pierre Falardeau et Julien Poulin a su se démarquer avec sa toute autre version que l’interprétation original de Michèle Lalonde par son impact percutante et son dramatisme. C’est principalement les images et la musique qui ont ajouté le côté plus sombre à l’œuvre et plusieurs personnes ont pu
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