L'humanisme au XVIe siècle

 Commentaire Littéraire

1.          Au 16 eme siecle , L'humanisme c'est développé apportant avec lui tout

Tout sont lot de réflexion  philosophique sur l'homme tout en choisissant d'avoir fois en lui ou, au contraire d'exprimer un mécontentement sur ces choix et ses croyance. Nous allons etuider un texte ecrit par Michel De Montaigne lui même un grand humanisme du 16 eme siecle. Ici c'est l'extrait du célébré recueille intitulé « Essaie » plus précisément  livre II chapitre XII. Dans ce texte Montaigne propose une critique péjorative et amène une réflexion philosophique sur l'homme et la place qu'il s'accorde dans l'univers. Ansi  nous pouvons nous aussi nous demander Par quelles artifices L'homme arbore t'il l'anthropocentrisme ? Pour cela nous allons tout d'abord analyser L’orgueil incommensurable que l'homme fait preuve puis poser une réflexion sur L’incrédulité qui a aboutit a une omniscience  injustifié.

     Dans un premier temps, il paraît intéressant de s'attarder sur les mécanisme qui on permit a l'homme d'avoir ce dit orgueil. D'abord comme précisé par l'auteur au début : «  dépourvu de la grâce et de la connaissance divine qui sont tout son honneur, sa force et le fondement de son être » ici l'auteur montre clairement que c'est la connaissance  qui ammene l'orgeuil autrement dit le fondement de sont être  base uniquement sur un don qu'il lui a été offert et qui l'ammene a penser comme un dieux. Ici l'orgeuil les connaissance et  les atout que lui a donné « L'architecte » etais seulement un atout existentielle et non pas une arme pour revendiqué un quelconque « droit » qu'il ne merite guère.

     Pour poursuivre la réflexion il est important de remarque la tentative et meme le direct affrontement/ defie que propose l’auteur envers l'homme nue le nue signifie sans artifice donc sans comme cité dans le premier developpement armes qui lui permettrons d'avoir un sentiment superieur on en revien aussi au base de la logique il y a donc un résonnement scientifique. «  Qu'il me fasse comprendre en employant la force de sa raison sur quels fondements il a bâti ces grandes supériorités qu'il pense avoir sur les autres créatures » ici l'auteur remet en cause la nature omnisciente que l'homme a tendance a avoir ce qui a d'autant plus d'impact que l'homme na pour seul arme ici sa « raison ». La multiplication des question rethorique comme «  Est-il possible d'imaginer chose aussi ridicule que le fait que cette misérable et chétive créature, qui n'est pas seulement maîtresse d'elle-même, qui est exposée aux atteintes de toutes choses, se dise maîtresse et impératrice de l'univers dont elle n'a pas le pouvoir de connaître la moindre partie, tant s'en faut de la commander » instaure un sentiment d’oppression et de domination envers l'homme.

     Pour conclure la première partie de ce devoir il ne faut oublier d'analyser le fait que l'homme est vulnérable comme cité ici « Est-il possible d'imaginer chose aussi ridicule que le fait que cette misérable et chétive créature, qui n'est pas seulement maîtresse d'elle-même, qui est exposée aux atteintes de toutes choses, se dise maîtresse et impératrice de l'univers dont elle n'a pas le pouvoir de connaître la moindre partie, tant s'en faut de la commander » on remarque clairement la vulneribilté de notres espece mais de plus l'auteur nous  montre aussi que notre propre metrise est déjà a justifier nous avons une autre citation qui montre notre manque de contrôle : «  Les sots et les méchants sont-ils dignes d'une faveur aussi extraordinaire » ici De Montaigne met en lumiere une partie d'humain qui ne peuvent respecté les autres hors ceci result d'un contrôle clair de soit ansi il paraît bien etrange de se revendiquer maitre absolue quand on n'arrive pas a se controler.

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