JOURNAL DE BORD DE BERLIN

JOURNAL DE BORD

25 juin 1963

J’étais au milieu de cette foule, nous étions nombreux ce jour, à quitter l’Est pour rejoindre l’Ouest ou le cadre de vie est meilleure.

Moi ce n’était pas pour la même raison que ces personnes je partais de l’Est uniquement pour obéir aux commandements que j’avaient reçus quelques jours auparavant.

A peine arrivé, le côté économique était omniprésent dans la ville, mon regard est resté fixer sur les voitures, il y avait plusieurs modèles, ce qui changeait de la RDA ou un seul modèle existe.

Les gens ici se promenaient librement sans se faire arrêter, contrôler.

Les quartiers sont magnifiques, comme le nouveau quartier de la Hanse avec son architecture qui reflète la prospérité de Berlin.  

26 juin 1963

Ce matin je me suis réveillé tôt, j’ai décidé de sortir en ville.

En me promenant j’ai entendu deux Berlinois parler, ils disaient que le président américain John.F.Kennedy prononcerais un discours aujourd’hui devant l’hôtel de ville.

J’ai donc décider de m’y rendre, tout était prêt, la plateforme ou le président prononcerais son discours étais assez élevé de manière à ce que les Berlinois puissent le voir.

L’hôtel de ville se remplissait vite, les Berlinois venaient bien à l’avance.

Tout au long de son discours les Berlinois l’applaudissaient, on pouvait voir des sourires sur tous les visages.

Il a conclu son discours en disant « ICH BIN EIN BERLINER » ce qui a étais apprécier par le peuple qui a donné un tonnerre d’applaudissement et d’acclamation.  JOURNAL DE BORD

25 juin 1963

J’étais au milieu de cette foule, nous étions nombreux ce jour, à quitter l’Est pour rejoindre l’Ouest ou le cadre de vie est meilleure.

Moi ce n’était pas pour la même raison que ces personnes je partais de l’Est uniquement pour obéir aux commandements que j’avaient reçus quelques jours auparavant.

A peine arrivé, le côté économique était omniprésent dans la ville, mon regard est resté fixer sur les voitures, il y avait plusieurs modèles, ce qui changeait de la RDA ou un seul modèle existe.

Les gens ici se promenaient librement sans se faire arrêter, contrôler.

Les quartiers sont magnifiques, comme le nouveau quartier de la Hanse avec son architecture qui reflète la prospérité de Berlin.  

26 juin 1963

Ce matin je me suis réveillé tôt, j’ai décidé de sortir en ville.

En me promenant j’ai entendu deux Berlinois parler, ils disaient que le président américain John.F.Kennedy prononcerais un discours aujourd’hui devant l’hôtel de ville.

J’ai donc décider de m’y rendre, tout était prêt, la plateforme ou le président prononcerais son discours étais assez élevé de manière à ce que les Berlinois puissent le voir.

L’hôtel de ville se remplissait vite, les Berlinois venaient bien à l’avance.

Tout au long de son discours les Berlinois l’applaudissaient, on pouvait voir des sourires sur tous les visages.

Il a conclu son discours en disant « ICH BIN EIN BERLINER » ce qui a étais apprécier par le peuple qui a donné un tonnerre d’applaudissement et d’acclamation.  JOURNAL DE BORD

25 juin 1963

J’étais au milieu de cette foule, nous étions nombreux ce jour, à quitter l’Est pour rejoindre l’Ouest ou le cadre de vie est meilleure.

Moi ce n’était pas pour la même raison que ces personnes je partais de l’Est uniquement pour obéir aux commandements que j’avaient reçus quelques jours auparavant.

A peine arrivé, le côté économique était omniprésent dans la ville, mon regard est resté fixer sur les voitures, il y avait plusieurs modèles, ce qui changeait de la RDA ou un seul modèle existe.

Les gens ici se promenaient librement sans se faire arrêter, contrôler.

Les quartiers sont magnifiques, comme le nouveau quartier de la Hanse avec son architecture qui reflète la prospérité de Berlin.  

26 juin 1963

Ce matin je me suis réveillé tôt, j’ai décidé de sortir en ville.

En me promenant j’ai entendu deux Berlinois parler, ils disaient que le président américain John.F.Kennedy prononcerais un discours aujourd’hui devant l’hôtel de ville.

J’ai donc décider de m’y rendre, tout était prêt, la plateforme ou le président prononcerais son discours étais assez élevé de manière à ce que les Berlinois puissent le voir.

L’hôtel de ville se remplissait vite, les Berlinois venaient bien à l’avance.

Tout au long de son discours les Berlinois l’applaudissaient, on pouvait voir des sourires sur tous les visages.

Il a conclu son discours en disant « ICH BIN EIN BERLINER » ce qui a étais apprécier par le peuple qui a donné un tonnerre d’applaudissement et d’acclamation.  JOURNAL DE BORD

25 juin 1963

J’étais au milieu de cette foule, nous étions nombreux ce jour, à quitter l’Est pour rejoindre l’Ouest ou le cadre de vie est meilleure.

Moi ce n’était pas pour la même raison que ces personnes je partais de l’Est uniquement pour obéir aux commandements que j’avaient reçus quelques jours auparavant.

A peine arrivé, le côté économique était omniprésent dans la ville, mon regard est resté fixer sur les voitures, il y avait plusieurs modèles, ce qui changeait de la RDA ou un seul modèle existe.

Les gens ici se promenaient librement sans se faire arrêter, contrôler.

Les quartiers sont magnifiques, comme le nouveau quartier de la Hanse avec son architecture qui reflète la prospérité de Berlin.  

26 juin 1963

Ce matin je me suis réveillé tôt, j’ai décidé de sortir en ville.

En me promenant j’ai entendu deux Berlinois parler, ils disaient que le président américain John.F.Kennedy prononcerais un discours aujourd’hui devant l’hôtel de ville.

J’ai donc décider de m’y rendre, tout était prêt, la plateforme ou le président prononcerais son discours étais assez élevé de manière à ce que les Berlinois puissent le voir.

L’hôtel de ville se remplissait vite, les Berlinois venaient bien à l’avance.

Tout au long de son discours les Berlinois l’applaudissaient, on pouvait voir des sourires sur tous les visages.

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