Les relations entre les deux blocs jusqu’à l’effondrement du bloc soviétique.
Étude de cas : Les relations entre les deux blocs jusqu’à l’effondrement du bloc soviétique.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jujube95 • 10 Novembre 2021 • Étude de cas • 292 Mots (2 Pages) • 408 Vues
II) Les relations entre les deux blocs jusqu’à l’effondrement du bloc soviétique.
A) Entre tensions et détentes (1947/1991).
Cette période de « guerre froide » est marquée à la fois par des périodes de fortes tensions (cf étude de cas sur Cuba et la crise des missiles) et des périodes dîtes de « détentes » ou de « coexistence pacifique » lorsque les relations entre les deux grands s’améliorent.
Les moments de très fortes tensions :
- Blocus de Berlin 1948/49 provocant la naissance de deux Allemagne : La République fédérale d’Allemagne à L’Ouest démocratie libérale (résultant de la réunion des trois zones d’occupation anglaise, américaine et française) et la RDA à l’Est (Démocratie populaire en fait un régime communiste aux ordres de Moscou) Berlin subi le même sort et « Berlin Ouest » reste la seule enclave démocratique et libérale dans l’Europe de l’Est dominée par le communisme et l’URSS).
- Construction du mur de Berlin 1961 (L’URSS pousse la RDA à construire un mur entre les deux Berlin pour éviter que les populations de l’Est fuient le communisme et rejoignent l’Ouest.
L’expression « rideau de fer » prend alors tout son sens).
- Crise de Cuba 1962 (cf étude de cas introduisant le chapitre).
- L’implication dans des conflits secondaires (guerre de Corée 1950/53, guerre du Vietnam 1955/75, guerre d’Afghanistan 1979/89).
Ces moments se succèdent donc avec des périodes d’apaisement marquée par la diplomatie, des accords de désarmement :
- Ostpolitik de Willy Brandt 1969/74. (cf étude de documents p 154/155).
- Accords SALT (stratégic limitation arms talk) 1972 limitant la prolifération de l’arsenal des deux grands notamment nucléaire.
- Conférence d’Helsinki (cf étude de documents p 154/155).
Cette guerre froide ne débouche sur aucune violence directe entre les deux grands par peur d’une troisième guerre mondiale nucléaire assurance d’une destruction mutuelle.
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