La dépossession

La dépossession

Le film porte sur un problème social dans le contexte du travail et repose sur l’organisation. Quel est ce problème ? Quelles sont les solutions possibles et envisageables ?

L’entreprise Fenwick est une entreprise leadeuse dans les constructions des chariots élévateurs. Au début des années 2000, deux énorme fonds d’investissements Goldman Sachs Partner (branche investissement de la banque la plus rentable des USA) et KKR (dirigé par le financier le plus redouté de toute l’atlantique : Henry Kravis) ont alors acheté le groupe, la filiale, les usines et les salariés Fenwick. Les salariés sont ne sont donc plus des salariés d’une entreprise industrielle mais appartiennent désormais au monde de la finance.

Le problème qui se pose ici est que les salariés doivent toujours donner le meilleur d’eux même. Et même le meilleur doit devenir encore meilleur l’année suivante. Pour l’entreprise, les salariés doivent se surpasser, car c’est ce qui fait l’excellence. C’est pour cela, qu’en 2007, l’entreprise à fait appelle à un cabinet conseil de renom afin de mettre en place un programme sur mesure pour vendre plus.

Le programme consistera alors à améliorer les bons vendeurs et pas ceux qui ont déjà du mal. On parlera alors de vendeurs confirmés et de vendeurs référents. Les vendeurs excellent devront alors tirer vers le haut les vendeurs référents afin que eux aussi augmente leur pourcentage de vente.

On peut alors voir apparaitre le capitalisme financier. Ce management consiste à mobiliser le maximum d’énergie des individus pour pouvoir répondre à des objectifs de performance et de rentabilité qui sont de plus en plus élevé. Malgré cela, il leur faut travailler plus avec moins de salariés en mettant sous tension ceux qui reste. Cette pression qui est mise au salarié et causé par les actionnaires qui ne sont plus branché sur la production mais qui malheureusement exigent des taux de rentabilité énorme sans se préoccuper des conditions et du réel du travail qui permet cette rentabilité. Pour les actionnaires, un bon manageur ne doit jamais être satisfait car c’est ce qui fait accroitre l’activité de l’entreprise.

Les solutions envisageables dans cette situation, serait que les actionnaires soit tournés vers le profit comme ils le sont actuellement chez Fenwick mais sans que cela ait des conséquences sur les salariés. Le but est de garder la totalité de ses salariés mais de le faire travailler dans de bonnes conditions de travail sans qu’ils soient stressés. Il faut aussi reconnaître le bon travail des salariés et savoir les féliciter quand il le faut. De plus, il faut aussi aider les salariés les moins bons et ne pas se concentrer exclusivement sur les vendeurs confirmés.

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