CM HISTOIRE DE L’ART
Cours : CM HISTOIRE DE L’ART. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ouhaw • 6 Novembre 2022 • Cours • 2 179 Mots (9 Pages) • 367 Vues
CM HISTOIRE DE L’ART
Séance 1
15e siècle = début de la renaissance en italie, fin du m-â
renaissance ) periode de mutation des mentalités et des modes de vie en europe, révolution culturelle nouvellle conception de l’individu = se reflete ds les images crées
A) Giorgio Vasari et le récit de la renaissance
on passe de la culture medievale à la culture humaniste (culture de la renaissance en italie d’abord) = fruit d’un processus assez long
Giorgio Vasari = idée que la renaissance est l’avenement d’un progrès qui s’est fait de maniere lineaire, R est un moment d’eveil de la conscience arttistique et de l’intelligence europeene = MAIS sous entend que m-â = periode d’obscurantisme, pauvrété artsitique
Girogio Vasari = peintre et architecte italien, considéré comme le premier historien de l’art, car il est l’auteur de « les vies des meilleurs peintres et architectes », publié en 1550 = info sur des artistes, anciens et contemporains (probleme au niveau de la methode puisqu’un historien a besoin de recul sur son epoque = regard biaisé). Chaque chapitre = un artiste (info biographiques, anecdotes, inventaires, anecdotes parfois fausses). Histoire des artistes, et non pas des œuvres
« renaccita » (renaissance) = redecouverte et renaissance de la culture antique
après la periode antique, les arts visuels ont été en déclin, et c’est particulierement à Florence qu’il va y avoir un renouveau des arts visuels
Vasari = progressiste
1) La decadence et la necessité d’un renouveau
Enfance de l’art : egypte antique
Adolescence de l’art = grece antique
Maturité de l’art = rome antique : plus haut degrès de perfection artistique et esthétique
ex d’oeuvres antiques :
- le groupe du laocoon
- apollon de belvedere : perfection anatomique masculine
- Aphrodite de Cnide : equivalent féminin de l’apollon
dès le regne de l’empereur constantin, artistes vont manquer d’exactitude, d’adresse
- invasions barbares, destruction des œuvres antiques par les premiers chretiens, ils ont pris des morceaux des édifices pr construire d’autres choses
premiers chrétiens étaient iconoclastes (bible : « tu ne feras point d’image » = refus des images
avenement du protestantisme = protestants luttent contre images religieuses
Vasari écrit une histoire qui parle de son temps, son « histoire de l’art » va dans le sens de ses conditions (volonté de laisser une trace, eloge de son pays, de sa ville : Florence)
artistes medievaux = inspirés des barbares du nord : style gotique. Vasari considere qu’il y a une surcharge d’ornements
style byzantin = art rigide, fixe, depourvu de grace, incapable d’imiter la nature
pr Vasari, le but supreme de l’art est d’imiter la nature (art antique obeissait à cette injonction)
Vasari evoque alors une necessité d’une renaissance des arts antiques : foyer de cette renaissance est la ville de florence
2) Le mythe d’une evolution chronolgique et lineaire
V av reprendre la sequence « enfance, ado, maturité » :
- enfance : de 1250 à la fin du Trecento : Cimabue, Giotto di Bondone (invention de la maniera moderna)
- adolescence : au quattrocento : Masaccio, Brunelleschi, Mantegna, Donatello
- maturité : apogée de la renaissance (16 e siecle)
Raphael = maitre de la grace : De Vinci
michel -ange = V va le diviniser, ê venu sur terre pr enseigner aux h la tte puissance de l’art
on cherche davantage à representer le monde qui nous entoure
B) Les primitifs italiens, ou la pré renaissance
1) Caractéristiques principales renouveau
artistes se basent sur le modèle byzantin, la maniere grecque
ils vont prendre les arts orientaux pr les ramener en italie
- art très religieux
- iconographie reprise de l’art des icones byzantines
- essort croissant du naturalisme (reproduire les formes telles qu’on les percoit à l’oeil nu)
humaniser les figures (notamment les divines)
mise en espace, installer les scènes ds des espaces coherents (profondeur), elements d’architecture, de paysage
volonté de representer le monde tel qu’on le percoit
nouveau rapport à l’image et ce qu’elle represente
2) La maniere grecque : predominance de l’esthetique de l’icone byzantine
icône = support de dévotion (instaurer un rapport direct avec le spect : yeux percant, en amande, qui fixent droit devant, regards inexpressifs) ; image d’un panneau de bois, mosaique d’une eglise, fresque
esthtique très codifié iconographie = terme qui designe les themes representés ds l’art
on retrouve tjrs les mêmes themes repsentés ds les icônes = pas de grde liberté artistique
icône n’a aucune prretention realiste, seulement une visée symbolique : representer le monde et les personnages divins, donc pas utiles de representer le monde terrestre
aspect desincarné ds les icones : tjrs ac un fond d’or, perso tjrs auréolé de face de maniere très frontale, perso inexpressif, pas de mouvement, stabilité
icône n’est pas comme une représentation, elle est censée capturer l’essence même du personnag,e icône concue comme une mise en présence de la divinité face au fidèle
esthetique anti naturaliste
C) Les precurseurs d’un nouveau kabafe pictural
1) L’influence abtique : un phenomène en sculpture au 18e siecle
art antique = naturalisme idéal
influence croissante de la statuaire antique chez les artistes italiens : corps davantage en volume (« chaire du baptistère de saint jean, scene de antalité »), drapés stylisés
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