La femme fatale au cinéma
Étude de cas : La femme fatale au cinéma. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar svaefe • 8 Juin 2017 • Étude de cas • 797 Mots (4 Pages) • 1 166 Vues
LA FEME FATALE AU CIÉNMA :
Qu’est-ce que c’est une femme fatale ?
La femme fatale est la femme belle et sexy, intelligente et blasée, mystérieuse, calculatrice, ambitieuse et parfois sans morale, et elle manipule les hommes littéralement subjugués. Elle est à la fois drogue et poison, mais aussi objet de fascination et d’effroi. La femme fatale conduit les hommes pour obtenir ce qu’elles veulent. Bref elle joue un rôle très négatif.
Le but des femmes fatales est d’obtenir tout ce qu’elles désirent : de l’argent, des pouvoirs, etc. La femme fatale apparaît ainsi comme le principal danger, le principal enjeu pour le héros, avant même l’argent ou l’alcool.
On ne va pas suivre la définition de femme fatale car pendant le cours nous avons vu tout sur elle et je pense que nous avons la base pour la reconnaître dans les films que je montrerais plus tard.
DANS QUEL MOMENT APPARAÎT LA FEMME FATALE AU CINÉMA ?
La femme fatale existe depuis longtemps mais au cinéma elle apparaît pendant les années quarante et cinquante, et elle va naître de l’imagination masculin pour être la femme méchante dans les films, la vilaine.
La femme fatale prend les territoires des hommes, quelque chose qui fait peur à l’époque car la femme est dans un lieu social plus bas que l’homme.
Situer une femme indépendante et intelligente en attentant à l'innocence de l'homme est très courant à cette époque au cinéma. La figure féminine suppose un mélange d'incompréhension et d'attraction pour l'homme qui provoquera toujours une admiration et de la peur dans des doses similaires. Observer des femmes réfléchissantes en créant des plans élaborés avec intelligence, sexualité, patience et indépendance, provoquait au spectateur un sentiment entre la complicité et l'horreur. Ce pour ça que la femme fatale devient un archétype qui même aujourd'hui se conserve dans le cinéma, en s'adaptant bien sûr au temps.
Tout femme fatale du cinéma noir des années quarante et cinquante, était submergé dans un monde de complexité, d'intelligence et glamour. Toutes cherchaient un statut social, un pouvoir ou de l'argent en utilisant les hommes comme des marionnettes. Elles vont choisi les hommes qui tombent amoureux facilement et qui vont tomber dans un labyrinthe dont ils ne pouvaient pas sortir.
EXEMPLES DE FEMME FATALE AU CINÉMA
- Le premier exemple va être Le facteur sonne toujours deux fois (1947) où la merveilleuse Lana Turner attrape au jeune John Garfield. Il y a une scène très célèbre dans le café du mari de notre femme fatale : le peint des lèvres roule par terre jusqu’à ses pieds, il le reprend et l’image de la caméra devient en ses yeux qui s'élèvent en découvrant des beaux pieds, il continue plus haut, et maintenant nous voyons un corps entier et tant John Garfield comme les spectateurs restent muets et soupirent après.
Poner la famosa escena
- Le deuxième film s’appelle La dame de Shanghai (1947), où Rita Hayworth jeu le rôle de femme fatale. Tout commence avec un marin irlandais, Michael O’Hara (Orson Welles), qui finit par travailler dans un yacht aux ordres d'un invalide marié avec une femme fatale (Rita Hayworth) et reste attrapé dans un essaim de meurtres et de mystères. Le film finit avec la méchanceté et la complexité des personnages condensée dans l'une des meilleures scènes finales du cinéma.
Poner escena final
- Le troisième exemple est Assurance sur la mort ou « Perdición » en espagnol (1944), reconnue comme un des meilleurs films à l’époque et même aujourd’hui comme une chef-d’œuvre.
Sa femme fatale est Barbe Stanwyck, porteuse d'une sensualité et une personnalité irrésistible que ce seront ce qui occasionne un chemin plein de morts et de dégradation.
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