Morales et ressentis sur les fables de La Fontaine

Jean de La Fontaine

Présentation :

Jean de La Fontaine est né le 8 juillet 1621, à château-Thierry. Durant sa jeunesse, le fabuliste livre sa fidélité à l’amitié uniquement, en effet La Fontaine est très infidèle en amour. De plus, il se trouve aussi très endetté avant le début de sa renommée. La Fontaine est un grand poète français du XVII° siècle, réputé pour ses fables principalement. Mais il écrit aussi de nombreux contes, des poèmes, des pièces de théâtres et des livrets d’Opéra. Ses écrits sont réputés pour leurs côtés moralistes. Jean de La Fontaine s’inspire des fabulistes de l’antiquité gréco-latine, pour rédiger ses Fables. Le livre I à VI à été publié en 1668, ensuite le VII à XI en 1678, et le XII en 1694. Ces fables qui sont le résultat de son plus grand succès résulte d’un écrit complexe mais compréhensible, et surtout d’un écrit moraliste.

1. Les animaux malades de la peste :

Une maladie qui se nomme « la peste » envahi le royaume du Lion. Ce dernier, souhaitant qu’elle s’en aille rapidement pense qu’il est bon de sacrifier un sujet. Le roi de la forêt propose donc de sacrifier celui qui a commit le plus de torts dans sa vie. Pour inciter chacun a avouer son tort le plus grave, il commence donc a avouer le sien. Par la suite, le renard flatte l’ego du roi, et se voit donc dispensé de la peine de mort, ainsi suivra le chemin des animaux les plus forts et violents de la forêt. Ensuite, un âne innocent avoue qu’il a grignoté dans un champs qui ne lui appartenait pas. Suite à son aveu, un loup insista pour que l’âne soit sacrifié car son acte était barbare. Sachant que leurs actes étaient bien plus grave, et ne voulant prendre la place de l’âne, chacun approuva la décision du loup. Et l’âne se fit donc sacrifier.

Cette fable met bien avant que « la raison du plus fort st toujours la meilleure ». En effet, dans cette fable l’âne étant faible et inférieur face aux animaux de la forêt. Cette fin brutale met en avant cette triste réalité. Lorsque le renard parle, il privilégie l’hypocrisie pour s’approprier la faveur des animaux puissants, et se protéger, plutôt que de dire la vérité et protéger un innocent.

Je trouve cette fable très intéressante car elle touche tant les animaux que les Hommes. Cette fable est en lien avec « l’âne et le chien », personne ne s’entraide et cherche à aider son prochain, chacun pense à sa propre personne. Je pense que dans cette fable il y a une certaine hiérarchie, et le lion état au dessus effraye tout le monde. Alors que chacun pourrait défendre l’autre pour que le roi lui même subisse les conséquences de son propre choix, chacun se défend livrant un innocent à la mort.

J’ai choisi cette fable car je l’avais déjà lu quand j’étais plus jeune, et je pensais que le roi était celui qui méritait de mourir. Et à l’heure actuel je soutiens toujours mon avis mais cette fois ci avec plus de recul. Si nous suivons tous un raisonnement juste, alors il serait bon que la vie ne soit ôtait à personne, toute fois si l’on garde le raisonnement du Lion c’est lui même qui devrait perdre la vie. Celui-ci n’a aucune preuve que ce soit un animal de son royaume qui ai emmené une maladie, quand bien même il savait qu’elle animal l’avait apporté, il ne mériterait pas de perdre sa vie. De plus, chacun sachant qu’il a commit une faute grave ne voudrait pas se voir mourir, préfère condamné un innocent qui n’osera jamais s’opposer au puissant de la forêt. Aucune mort ne peux arrêter la maladie, alors à quoi bon tuer un innocent, si cela est inutile. Je pense que la mort est donc une partie de plaisir, et donner bonne conscience au lion qui a voulu faire quelque chose pour son royaume.

2. Les deux amis :

Deux amis est une œuvre provenant des fables … Cette fable raconte l’histoire de deux amis qui vivent au Monomotapa. Durant un rêve l’un des deux amis se réveille inquiet d’avoir perçu dans son rêve son ami malheureux, suite à ça l’ami inquiet se rend chez l’autre ami rapidement. Lorsqu’il arrive, et sans comprendre ce qu’il se passe, l’autre ami lui propose directement des biens (une épée, de l’argent, un esclave). Or celui-ci venait simplement s’assurer que son ami se portait bien.

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