Morale des fables du livre VII de la Fontaine

Miguel A Pinzón

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Résumés et morales:

 Des fables de La Fontaine

LIVRE I

 La cigale et la fourmi:

Au début de l’hiver la fourmi se trouva sans nourriture car elle n’a pas travaillé. Elle alla lui demander un prêt à la cigale, mais celle-ci se nia à l’aider et lui dit de faire ce qu’elle a fait tout l’été, danser, pour obtenir ce qu’elle chercha.

Morale :

La fable nous essaye de donner un exemple de pourquoi c’est nécessaire travailler que dédier tout son temps aux loisirs

Le corbeau et le renard:

Le corbeau tenait en son bec un fromage et le renard, attiré par cette odeur, commença à parler avec lui, en lui faisant de nombreux compliments, pour obtenir un bout de fromage. Le corbeau séduit par les compliments, lâche le fromage et le renard le vol

Morale :

Il faut « toujours avoir les pieds sur terre », avoir un regard subjective et objective pour ne pas se tromper.

La grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf:

Une grenouille voit un bœuf, pleine de jalousie, elle veut être aussi grande que lui. En faisant son meilleur effort, elle se gonfle jusqu’à crever.

Morale :

Il faut mieux être simple, se contenter de ce qu’on que vie ou vivre dans le malheur à cause de la jalousie.

Les deux mulets

Il y avait deux mulets, un portait d’argent d’avoine et l’autre, avec l’air orgueilleux, portait un l’argent d’un impôt. Alors, un ennemi apparut et lui vola tout l’argent de l’impôt.  

Morale :

L’orgueil est la vanité n’ont pas toujours une récompense.

Le loup et le chien

Un loup, rabougri, voit un chien grand et en bon santé, alors il s’approche au chien et lui demande de lui donner des conseils. Le chien le conseille de partir avec un humain quand il voit que le chien a une blessure qui vient d’un collier, il décide ne pas suivre le conseil et revenir au bois.

Morale :

La liberté est notre première priorité pour survivre tranquillement.

La génisse, la chèvre et la brebis, en société avec le loup.

Ces animaux ce sont associés pour augmenter leurs gains en termes de nourriture. La chèvre trouva un cerf, puis elle appela ses associés. Après de l’avoir chassé, ils étaient supposés de partager la nourriture mais le lion prend tout pour lui.

Morale :

La loi du plus fort: Dans une société, communauté, système, corrompue, etc. les virtus seront utilisé pour commettre des abus.

La Besace

Les animaux doivent confesser ses pêchers à Dieux, cette fois Jupiter. Les animaux s’accusent entre eux. Pour se mettre en valeur.

Morale :

Il faut admettre ses erreurs et oublié l’amour-propre pour la justice.

L’hirondelle et les petits oiseaux

Une Hirondelle très culte et expérimenté, prévient un groupe de oiseaux de l’arrivée des hommes. Les oiseaux ignorent l’hirondelle et se font capturé.

Morale :

Nous ignorons le mal que il est venu. C’est mieux prévoir que regretter.

Le rat de ville et le Rat des champs

Le Rat de ville invite le Rat des champs diné chez lui. Ce diner, très élégant, fut interrompu par homme et les Rats durent courir.

Morale :

L’excentricité et la simplicité peuvent atteindre les mêmes plaisirs.  

L’Homme et son image

Un homme, de ces qu’on appelle narcissiste, ne croyez pas aux reflets émis par les miroirs, une fois alla voir un vrai reflet dans un canal. Son apparence lui a paru insatisfaisante et a resté malheureux.

Morale :

L’amour qui produit notre âme, naturellement, est totalement propre. La fable dénonce le vice de la vanité en le qualifiant comme contradictoire avec le mode de vie humain qui est en communauté. Il nous conseille d’être plus modestes.

Dragon à plusieurs têtes et le Dragon à plusieurs queues

Un envoyé du Grand Turc et un Allemands se sont mis à parler de la situation entre les deux pays. A la conversation arriva un troisième personnage, Chiaoux qui compara les chefs de chaque pays avec deux dragons, un de plusieurs têtes et un de plusieurs queues qui ne respecter pas les espaces qu’occupaient chaque un.

Morale :

La Fontaine nous conseille de respecter les gens pour éviter des conflits.

Le Loup et l’Agneau

Le Loup charge l’Agneau, d’un faux crime : avoir bu son breuvage. Le Loup mange l’Agneau avec cette excuse.

Morale :

La loi du plus fort peut être utilisée injustement.

Les Voleurs et L’Âne 

Deux voleurs se battent pour un Âne quand un troisième arrive et le prend.

Morale :

Les disputes des mésententes ne peuvent qu’apporter des problèmes.

Simonide préservé par Les Dieux

Un poète grec a écrit un éloge pour un athlète ingrat. Le poète reçoit la visite de Castor et Pollux, qui le vengent

Morale :

 On doit toujours reconnaitre le caractère divin d’un artiste et ses œuvres.        

La Mort et le malheureux

Un vieux malheureux invoque la Mort, mais se rétracte, quand il la voit.

Morale :

Tu seras prêt à partir quand tu seras satisfait avec ton expérience de vie.

Et

« Tu trépas viens guérir/ Mais ne bougeons d'où nous sommes:/ Plutôt souffrir que mourir, / C'est la devise des hommes. »  La morale : Si tu ne vas pas mourir ne suit pas les instructions du discours  idéal, fait toujours le plus convenants pour la communauté.

La Mort et Le Bûcheron

Un vieux bucheron souffre au milieu de foret appelle la mort pour l’aider à porter son bois.

Morale :

 « Tu trépas viens guérir/ Mais ne bougeons d'où nous sommes:/ Plutôt souffrir que mourir, / C'est la devise des hommes. »  La morale : Si tu ne vas pas mourir ne suit pas les instructions du discours  idéal, fait toujours le plus convenants pour la communauté.

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