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Corpus de textes du XVIIe siècle d'Hugo et du XXIe de Philippe Claudel

Étude de cas : Corpus de textes du XVIIe siècle d'Hugo et du XXIe de Philippe Claudel. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Novembre 2018  •  Étude de cas  •  1 809 Mots (8 Pages)  •  755 Vues

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                                               Corpus

Ce corpus comporte trois texte tirée de roman du XVIIéme ( le travailleur de la mer ) de Victor Hugo et du XXI le rapport de Brodeck de Philippe Claudel et au revoir là-haut de Pierre Lemaitre ces trois texte

1)Expliquez en quoi on peut dire que ces trois extraits abordent le thème de la monstruosité.

Nous pouvons déjà voir que dans le texte A la description d’un monstre, « quelque chose qui était mince,âpre,plat,glacé,gluant et vivant »(Ll1) ou encore « elle était souple comme le cuir solide comme l’acier,froide comme la nuit »(L14) tout cela nous donne une description d’un monstres nous pouvons voir aussi que la créature a de mauvaise intention « Il lui semblait que d’innombrable lèvres,collées a sa chair,cherchaient a lui boire le sang »(L19) nous pouvons aussi voir le champ lexical du stresse de la souffrance « l’angoisse, l’anxiété,souffrance inouïe,l’horreur,inquiéter » ou on peut dire que le monstre de ce texte aussi c’est le vieil armateur qui offre la main de sa nièce contre un service .

Ensuite dans le texte B nous pouvons voir des la première ligne la monstruosité de l’humain encore une fois « Ceux qui nous gardaient et nous battaient répétaient toujours que n’étions que des fientes,moins que des merdes de rat » il les nourrissait comme des chien les traiter comme des chiens leur parler comme des chiens et tout ceux qui refusait de faire le chien se faisait tuer soit par la faim ou soit par des coups répéter nous pouvons voir aussi la monstruosité des garde a la ligne 21 « Durant la nuit les gardes avaient fini par m’attacher a un piquet , prés de la niche des dogues. Je dormais a même le sol, dans la poussière et l’odeur des pelages, des souffle des chiens, de leurs urines nous pouvons voir ici une description d’une condition de vie très difficile a ce moment la même lui ce considère même plus comme un humain mais comme un animal même les prisonnier l’insulter d’animal mais c’était soit ça ou la mort c’est ici que nous voyons que la monstruosité de l’humain peut être beaucoup plus pire que celle des animaux.

Enfin dans le texte C

Nous pouvons encore voir la monstruosité de l’humain dans ce texte Albert Maillard est enseveli dans un trou d’obus suite a une explosion nous pouvons apercevoir le champ lexical de la peur ( devient fou, hurle, cri ,effroyable, panique) Tout cela c’est produit a cause de l’humain encore une fois, la monstruosité dans ce texte c’est qu’il est enterraient vivant sous terre il peut plus bouger la terre le paralyse « Mais il est allongé dessous et cette couche est suffisante pour le paralyser,empêcher tout mouvement et le condamner »(L18) Donc la panique l’envahit jusque qu’il réussit a bouger sa main et la sortir de terre et qu’il voit une tête de cheval horrible.

Dans ces trois textes nous pouvons voir que le coter le plus monstrueux provient de l’humain est non pas des animaux présent dans les trois textes.

2) Dans les textes 1et 3 (V.Hugo et P.Lemaître) uniquement, montrez comment sont exprimées la peur et l’angoisse des personnages de Gilliatt (texte 1) et d’Albert (Texte 3)

Dans le texte A la peur de Gilliat est exprimé par le champ lexical du stress de la souffrance  « l’angoisse, l’anxiété, souffrance inouïe, l’horreur, inquiéter » il avait tellement peur qu’il n’a même pas pousser un cris il est tétaniser traumatiser pas ce qui lui arrive « l’angoisse a son paroxysme, est muette. Gilliatt ne jetait pas un cri »(L22)

Ensuite Dans le texte C la peur d’Albert est représenté par ces penser  «  je suis enterré se répète t’il et sont esprit s’engouffre dans cette effroyable évidence au point qu’il n’a même pas encore pensé à rouvrir les yeux.(L7) ça peur est aussi exprimer par les cris qu’il poussent et par ces geste « tout ce qu’il fait c’est tenter de remuer dans tout les sens » (L9)  « Dans sa tête tout se brouille, il hurle » (L6) On peut voir que la peur, l’angoisse de mourir l’envahit dans son esprit.

Nous pouvons voir que dans les deux texte leur réaction sont différente pourtant les deux ont la peur de mourir.

 

                                                                        Commentaire de texte

Philippe Claudel est né en 1962 c’est un réa        lisateur et un écrivain français du XXIe siècle. Il a écrit de nombreux roman don Les Âmes grises (2003) et le rapport de Brodeck (2007).Le rapport de Brodeck est un texte soumis a notre étude c’est un roman qui a obtenue le prix des Goncourt lycéens en 2007 le prix du libraires du Québec en 2008 et les prix du lecteur de livre en poche en 2009. Ce dernier nous présente un détenu d’un camp d’extermination. Ce récit nous montre la monstruosité des gardes envers les juifs en période de guerre. Le détenue est considérer et traité comme un chien par les gardes qui s’en amusent. Il est d’ailleurs nommé « chien Brodeck » . Il fait tous ce que les gardes disent pour ne pas mourir car en faisant le chien et en suivant tout les ordres à la fin de la guerre il pourra donc rentrer chez lui . Dabord nous allons nous poser la questions de la description de l’horreur à cette période et ensuite comment et pourquoi les décisions de Brodeck lui on permis de rester en vie .

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