She Left France to Fight in Syria. Now She Wants to Return. But Can She?
Discours : She Left France to Fight in Syria. Now She Wants to Return. But Can She?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Silvana Comloşan • 13 Janvier 2018 • Discours • 684 Mots (3 Pages) • 823 Vues
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She Left France to Fight in Syria. Now She Wants to Return. But Can She?
Silvana Comlosan AG1
Retourner en arrière, jamais trop tard ? :
Emilie König est la fille d'un policier d'une petite ville de Bretagne, elle s'est convertie à l'islam à l'adolescence. Après avoir commencé à se couvrir de la tête aux pieds dans un voile noir, elle se sentit tellement méprisée en France qu'elle laissa tout en France , meme ses deux enfants pour partir Syrie, à la recherche d’un homme viril, un homme qui la remplirait, qui représenterait un guerrier pour elle. Ce besoin étant peut-être du au abandon de son père.
Une fois arrivée en Syrie, le sentiment de vulnérabilité de Mme König semble avoir été apaisé, ou du moins sa position publique était résolue,devenant finalement une propagandiste et un recruteur pour l'État islamique. Aujourd’hui Mme König, est inscrite sur la liste des terroristes et fait l'objet de sanctions de la part des Nations Unies et des États-Unis.Ayant passé les cinq dernières années en Syrie, où elle a rejoint les extrémistes islamiques.
Elle aimerait revenir en France , elle a demandé pardon à sa famille, à ses amis, à son pays .
Fermer les yeux sur le passé
L'histoire personnelle de Mme König est inhabituelle, notamment parce qu'elle est une convertie et a pris de l'importance dans l'État islamique.Pourtant, le dilemme que pose son cas est de plus en plus fréquent pour la France et les autres pays européens: que devraient-ils faire lorsque des citoyens qui sont d'anciens combattants ou sympathisants de l'État islamique veulent rentrer?
Sans aucun doute, les pays européens préféreraient que les combattants ne reviennent jamais, ou qu'ils soient poursuivis pour des crimes de guerre et des activités terroristes dans les pays où ils ont été capturés. Mais ce dernier est difficile à obtenir compte tenu de l'engagement des pays occidentaux en faveur des droits de l'homme et de la primauté du droit.
La région kurde de Syrie, où Mme König a dit qu'elle est détenue, est une zone grise légale. Les Kurdes administrent la justice et exercent de nombreuses fonctions gouvernementales, mais en vertu du droit international, la région fait toujours partie de la Syrie - même si elle est autonome - et elle n'est pas reconnue par la France ni par aucun autre pays.
Si les combattants retournent, il serait difficile de les poursuivre pour les crimes graves qu'ils auraient commis en Syrie ou en Irak et d’ autre côté, la possibilité de laisser les anciens combattants errer librement et d'essayer de les surveiller constitue un défi de taille pour la sécurité.
Pour conclure, c’est une situation très particulière avec des décisions difficiles à prendre . Pour les personnes souhaitant revenir il est dur à voir que son pays ne les acceptent plus comme autre fois, ainsi que pour le pays il est difficile à faire confiance à quelqu’un qui a trahi la population et qui est parti par son propre choix. D’où vient, la montée des voies qui sont en désaccord que les combattants ne reviennent jamais dans le Pays . C’est un choix qui reste à venir concernant l’accord de revenir une fois que l’on est partit, un choix qui implique l’avis de toute une population .
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