Réaliser tous ses désirs permet-il de rendre heureux ?

1 Philosophie :

1er sujet : réaliser tous ses désirs permet-il de rendre heureux ?

Doxa = opinons admis différent de paradoxa

Se demander d’abord quelle est l’opinons admis en dissertation puis faire la construction d’une problématique / paradoxa / problématique

Introduction :

Apriori il n’y a pas de bonheur possible si tous nos désirs sont déçus par (par exemple : je désir écouter tels morceaux et je ne suis pas en train de l’écouter que j’entends combler). Il en va de même pour tous les désirs, le désir d’accéder à tels position sociale, le d’argent, de liberté, le désir sexuel. Le désir est donc inconfortable (comme lorsque qu’une partie de mon corps me gratte). Ne pas les réalisés se serait de demeurer dans cet état inconfortable de manque. A partir de là, nous pouvons définir le désir comme la conscience d’un manque est l’effet que nous faisons pour combler ce manque. Difficile d’être heureux, tant que nos désirs ne sont pas satisfaits, cela nous montre que le bonheur est peut-être l’état ou l’on ressent le plus de désir possible. Cependant si on se penche avec plus d’attention sur nos désirs, on remarque d’abord que lorsqu’un désir et satisfait, le plaisir qui en découle et éphémère : il s’éteint aussi vite qu’il est apparu. Le plaisir que je prends à déguster un plat disparait. Dès lors, il apparait que le bonheur comme état de satisfaction durable et ne peut se contenter de plaisir, et donc que la satisfaction des désirs ne suffit pas à celui ou celle qui veut vivre heureux. On peut ajouter à cela le fait que satisfaire tous ces désirs, succomber à toutes les tentations, c’est prendre le risque d’être d’avantage esclave que maitre de ses désirs. Cela est d’autant plus vrai que nombre de nos désirs peuvent nous être imposer de l’extérieur. Ce texte (texte 2) montre comment les désirs que nous ressentons au plus profond de nous-même peuvent être imposer, sans violence physique certes, mais sans alternative possible. Ils nous sont imposés par l’abondance des biens de consommation et les procédés marketing qui les accompagnent. Cela jette le doute sur le lien de cause à effet apparemment évident entre satisfaction des désirs et vie heureuse. En effet, si d’une part les plaisirs que nous recherchons sont toujours éphémère et si, d’autre part nous prenons toujours le risque d’être maitriser par nos désirs plus que nous les maitrisons, alors notre constat initial selon lequel satisfaire ses désirs permet d’accéder au bonheur doit être mise en doute.

Dès lors en satisfaisant nos désirs, ne sacrifions-nous pas la possibilité d’un bonheur au profit de plaisir passagers ?

Une juste compréhension de notre désir permet de reconnaitre ceux dont la satisfaction permet d’accéder au bonheur

Un examen attentif nous montre que tous nos désirs ne se valent pas

Tranquillité du corps

Nécessaires Tranquillité de l’âme

Naturel Vie

Désir Non nécessaires

Vains

L’auteur nous invite à fuir la trie tout d’abord entre désir vain et désir naturels. Les désirs vains sont ceux dont la réalisation est impossible (pouvoir marcher sur le soleil) ou dépend de l’opinons d’autrui et de circonstances extérieur (gloire ou richesse). C’est donc vers les désirs naturels et notamment les désirs naturels et nécessaire qu’il faut se tourner afin de trouver le bonheur.

Parmi les désirs naturels nécessaires, les premiers le sont pour la vie : ce sont les besoin (manger, dormir, respirait…). Si l’on ne satisfait pas ces désirs primaires, le bonheur est impossible. Le second a objectifs à la santé du corps (le désir de faire du sport, désir de manger sain). Enfin, 3ème catégorie de désir nécessaires et naturels, les désirs ayant pour objet la tranquillité de l’âme (ataraxie). C’est à ce désirs là que répond la philosophie, c’est cet idéal de sagesse qu’elle nous aide à atteindre.

Reste donc les désirs naturels et non nécessaires, pour Épicure le désir sexuel en fait partie ainsi que l’esthétique (contempler les tableaux, écouter de la musique). On peut du coup s’y a donner dans les limites du raisonnable, mais on peut aussi vivre sans Épicure nous invite à « rapportez tout nos choix et toute aversion à la santé du corps et à l’ataraxie de l’âme, puisque c’est à perfection même de la vie heureuse. » Cela signifie que tout ce que nous désirons, nous le désirons soit pour notre corps, soit pour notre âme.

Le plaisir est le matériel même du bonheur

Lorsqu’Épicure affirme que les plaisirs sont les commencements et la fin tout vie heureuse, il parle de commencement c’est bien par le plaisir que l’on commence à être heureux et il parle de fin au sens de but : nous cherchons le bonheur non pas dans le seul but de se dire heureux mais dans me but de ressentir le plus grand plaisir possible. Nous avons tous déjà gouté au plaisir et c’est cela que nous recherchons lorsque nous essayons

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