La prison joe-t-elle efficacement son rôle de réinsertion?

Ce qu'il faudrait améliorer dans la politique de réinsertion :

D'après vos informations, on comprend que le système français ne fonctionne pas de façon optimale.

Ce qu'il faudrait améliorer dans la politique de réinsertion :

D'après vos informations, on comprend que le système français ne fonctionne pas de façon optimale.

Alors comment remédier à ce retard ? Quelles politiques mettre en place ?

Et bien c'est justement la question que nous avons posé à différentes personnes chargées de cette réinsertion, notamment à Pierre Lemée, directeur de la maison d'arrêt de Saint Brieuc : (introduire la partie de l'interview).

Comme il a pu l'expliquer, la France possède un retard conséquent lorsque l'on se rapporte à certains pays comme la Norvège, la Suède ou encore le Canada.

Certaines politiques, comme les aménagements de peine, pourraient être une solution à ce problème. En effet ces derniers visent à organiser une réintégration progressive dans la société en fin de peine ou encore à éviter l'effet délocalisant de la prison pour les personnes condamnées à des courtes peines d'incarcération. Pourtant, le nombre des aménagements de peine reste très faible et est même en baisse. Une sous-utilisation qui s’explique notamment par la faiblesse des moyens qui leur sont consacrés mais aussi par la considération d'une faveur plutôt qu'une étape normale et nécessaire de l'exécution des peines.

Alors comment remédier à ce retard ? Quelles politiques mettre en place ?

Et bien c'est justement la question que nous avons posé à différentes personnes chargées de cette réinsertion, notamment à Pierre Lemée, directeur de la maison d'arrêt de Saint Brieuc : (introduire la partie de l'interview).

Comme il a pu l'expliquer, la France possède un retard conséquent lorsque l'on se rapporte à certains pays comme la Norvège, la Suède ou encore le Canada.

Certaines politiques, comme les aménagements de peine, pourraient être une solution à ce problème. En effet ces derniers visent à organiser une réintégration progressive dans la société en fin de peine ou encore à éviter l'effet délocalisant de la prison pour les personnes condamnées à des courtes peines d'incarcération. Pourtant, le nombre des aménagements de peine reste très faible et est même en baisse. Une sous-utilisation qui s’explique notamment par la faiblesse des moyens qui leur sont consacrés mais aussi par la considération d'une faveur plutôt qu'une étape normale et nécessaire de l'exécution des peines.

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