Exemple de synthèse de TPE

Thomas                                      Synthèse personnelle TPE                            Groupe n°8

BERLIOZ

Lors de la présentation des différents thèmes proposés en débuts d'année, mon groupe et moi avons décidé de choisir dans un premier temps un sujet que l'on essayerais ensuite de placer dans un thème afin d'avoir un choix plus large. J'ai ainsi été directement attiré par l'idée que je me posais depuis longtemps : Se laver trop souvent est-il dangereux ? Ainsi, nous avons choisi après plusieurs séances de partir sur une problématique plus parlante : Se laver 1 jour sur 2, mode ridicule ou réflexe à prendre ? Nous l'avons ensuite inclus dans le thème Structure – Surface d'échange.

Les matières qui sont concernés pour résoudre ce problème sont la SVT et la Physique-Chimie.

Nous avons choisi de prendre ce sujet car nous trouvions cette problématique pertinente; elle parle à tout le monde et nous touche tous dans la vie quotidienne. Cette question a également été traitée par plusieurs chercheurs, scientifiques qui ont voulu savoir, comme nous, si se laver excessivement pouvait devenir nocif.

Nous avons donc commencé par définir l'hygiène, qu'est-ce que c'est l'hygiène et sur quel surface du corps serait-elle la plus intéressante ? Alors nous avons constaté que l'hygiène corporelle était la forme d'hygiène la plus exploitable pour notre TPE.

Ensuite, nous nous sommes intéressés à la composition de la peau, sa surface, ses différentes couches etc...

Après avoir fait toutes ces recherches préliminaires, nous nous sommes concentré sur l'action du savon, comment fait-il pour laver notre peau ? Nous avons donc fait une première expérience pour essayer d'observer la composition du savon. Malheureusement, cette expérience n'a pas fonctionné car les microscopes ne sont pas assez puissant et donc que rien n'était observable. Cependant, en parallèle, nous nous sommes intéressés à plusieurs revues scientifiques et sites internet qui expliquaient que dans le savon, il y a présence de molécules amphiphiles constitués en 2 parties : une tête hydrophile et une queue hydrophobe. Au moment du lavage, la queue hydrophobe s'accroche aux tâches grasse de notre peau sale et pour qu'au moment du rinçage l'eau entraîne ces « micelles ».

Nous nous sommes ensuite orientés vers la différence de pH entre la peau et le savon qui pourrait entraîner une agression. Nous avons donc mesurer le pH du savon et cherché celui de la peau. Nous avons constaté une différence entre les deux, entraînent une affectation sur le film hydrolipidique de notre peau.

Après ça, nous avons décidé de cultiver des bactéries et voir si, avec le savon, celles-ci se développaient plus ou moins que sans. Ceci prouverait ainsi le pouvoir lavant du savon. Nous avons donc réalisé une gélose nutritive pour y déposer des suspension de levures. L'expérience est en 2 partie, une boîte à pétri avec seulement des bactéries et une autre avec des bactéries et du savon. Cette expérience à très bien marché, les résultats furent flagrants.

Nous avons également étudié la composition chimique du savon, ainsi que le rôle des différents composants.

Se laver ça sert à sentir bon. Mais pourquoi avons-nous besoin de se laver ? Pourquoi si l'on ne se lave pas, on sent mauvais ? C'est de là que nous sommes parti pour étudier la sueur, son odeur et pourquoi transpirons-nous. Ceci nous a permis de trouver un argument contre notre problématique de base.

Si l'on ne se lave pas, on peut aussi avoir des infections bactériennes, virales ou encore des parasites. Nous avons ainsi découvert les différentes conséquences d'un lavage trop rare.

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