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Xeroderma pigmentosum

Mémoire : Xeroderma pigmentosum. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  19 Février 2018  •  Mémoire  •  1 228 Mots (5 Pages)  •  1 565 Vues

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Nous allons étudier le passage du génotype au phénotype de la maladie de Xéroderma pigmentosum, une maladie génétique héréditaire, puis l'impact et l'importance qu'a l'environnement sur le phénotype macroscopique, et enfin les solutions pour diminuer l'impact de la réalisaion de celui-ci.

Premièrement au niveau du génotype, comme nous pouvons

l'observer dans le document 2 à l'aide d'une comparaison de séquences de nucléotides de l'allèle Xpf entre un individu sain et de deux individus malades, il y a des mutations de certains nucléotides sur les allèles des individus malades. En effet pour l'individu atteint de xéroderma pigmentosum portant l'allèle XPf1 le nucléotide 2362 a une base azotée T(thymine) au lieu d'une C (cytosine), de même pour le malade portant l'allèle XPf2 les nucléotides n°1471 et n°1553 ont également subit une mutation de substitution (passé respectivement d'une base G à une base A, et d'une base T à une base C). Il y a donc une modification de l'information génétique contenue dans l'ADN.

On remarque que les mutations chez les individus malades ne sont pas forcément sur les mêmes nucléotides nous supposons alors qu'il y a différents variables de la maladie.

Comme nous le dis ce document 2, l'enzyme Xpf est un intervenant dans la réparation des dimères de thymine, nous nous demandons alors si ces mutations on des répercutions chez les individus malades.

Ensuite à l'aide du document 3 nous pouvons étudier les différentes étapes du phénotype.

En premier lieu il y a le phénotype moléculaire,

pour lequel nous voyons grâce à la partie C que les protéines réparatrices de l'ADN sont défectueuses et ne peuvent donc pas par conséquent accomplir leur fonction qui es de réparer les mutations créées par les rayons UV du soleil (angents mutagènes). Nous reviendrons dessus plus tard pour montrer l'importance de ces rayons dans la réalisation du phénotype macroscopique.

Ces protéines sont défectueuses car elles ont étaient créées à partir d'une molécule ADN défectueuse (voir génotype). Or nous savons que l'ARN préméssagé qui permet de créer les protéines, a été transcrit à partir de l'ADN (c'est une copie quasiment identique de l'ADN, sauf T devient U) et subit un épisage ne gardant alors que les parties codantes pour ensuite être traduit et transformé en protéines. Ici les protéines sont modifiées, les mutations de la séquence de nucléotides ont donc été conservés, ce sont donc des exons (parties codantes).

Après il y a le phénotype cellulaire, où là grâce à la partie b,

nous aprenons ici que les cellules de la base de l'épiderme d'un individu atteint du Xeroderma pigmentosum perdent le contrôle de leurs cycles de divisions et donc ces dernières se multiplient rapidement jusqu'à former des tumeurs cancéreuses (carcinome basal). Nous savons que celà est du au rayons UV du soleil qui provoquent des mutations, comme les protéines réparatrices sont défectueuses elles ne les réparent pas et ces modifications entraient donc la perte de contrôle des cellules qui transmetent les mutations et se quie est donc l'origine du cancer.

Enfin le phénotype clinique, vu grâce au texte A du doc3,

se manifeste par de l'hypersensibilité (sensibilité excessive) de la peau au UV (solaires), pour les malades ils multiplient par 1 000 les risques de developper un cancer de la peau dès le plus jeune âge (1er cancer est avant 10 ans et il peut être dès 2ans).Cette Hypersensibilité se manifeste par des brûlures de la peau et des dommages aux yeux suite à une simple exposition.

Mais également par une peau séche et tachetée (d'où le nom; grec xeros : sec; derma: peau et pigmentosum pour le pigment des taches)

Nous pouvons aussi observer un viellissement accéléré de la peau.

On conclut donc que les mutations des allèles provoqués par cette maladie génétique héréditaire rare (on sait qu'il y a quelques milliers de cas dans le monde, car elle est transmise de manière autosomique récessive, c'est à dire que les deux parents doivent être porteur du gêne et le transmetre à l'enfant, le malade à donc ses deux gênes atteint) ont une répercussion sur le phénotype de l'individu. En premier lieu sur le plan moléculaire à travers l'ARNm et puis les protéines, puis sur le plan cellulaire et enfin les conséquences sur le plan clinique.

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