SVT: le déplacement des plaques

Avec l’aide des documents 1 et 2 pages 130, 131 et 1 et 2 pages 158,159 nous avons pu recenser toutes les formes de compression qui sont souvent dû à des collisions. Ces collisions sont liées à la disparition d’un domaine océanique par subduction qui conduit à l’affrontement de deux lithosphères continentales. Nous avons donc relevé 3 formes de compression:

A grande échelle, il y a le chevauchement ou la nappe de charriage qui est une zone d’intense déformation qui permet le déplacement horizontal d’une unité géologique au-dessus d’une autre. Ce déplacement horizontal est de l’ordre de plusieurs kilomètres (ex : nappe de charriage de Gavarnie dans les Pyrénées).

A plus petite échelle, il y a la faille inverse qui est une fracture de la croûte terrestre qui permet le rapprochement des deux compartiments qu’elle sépare. Lors de ce raccourcissement il apparait une inversion dans la succession de l’ordre des couches. De plus ces failles inverses s’associent souvent avec des plis, ceux-ci sont de l’ordre de quelques millimètres (ex : roche de l’Himalaya) à plusieurs centaines de mètre (ex : Bourg d’Oisans).

Grâce à ce schéma nous avons pu découvrir que ces structures de compression traduisent tout d’abord d’un raccourcissement horizontal des terrains. En effet lorsque l’on mesure la longueur de notre bloc, celui-ci fait 40 cm. Puis lorsque l’on mesure sa longueur lors de la faille inversé celui-ci ne mesure plus que 34 cm soit une réduction de 6 cm.

Et enfin nous avons pu découvrir que ces structures de compression traduisent également d’un épaississement. En effet lorsque l’on mesure l’épaisseur de notre bloc, celui-ci fait 25 cm. Puis lorsque l’on mesure son épaisseur lors d’un chevauchement celui-ci mesure 50 cm soit une augmentation de 25 cm.

Donc ces structures de compression traduisent d’un raccourcissement horizontal et d’un épaississement.

Pour conclure grâce aux documents annexes et du livre nous avons pu prouver qu’il y a eu une collision continentale.

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