Génétique et évolution
Fiche : Génétique et évolution. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar KM27 • 20 Juin 2022 • Fiche • 411 Mots (2 Pages) • 391 Vues
THEME / GENETIQUE ET EVOLUTION
CHAP.1 / L'ORIGINE DU GENOTYPE DES INDIVIDUS
Comment les divisions cellulaires et la fécondation participent-elles à l'émergence de nouveaux génotypes ?
Génotype = ensemble de l'information portée par les gènes (et leurs différents allèles) d'un individu, à l'origine de ses caractères, c'est-à-dire de son phénotype.
La fécondation est la fusion de deux gamètes apportant chacun un lot haploïde (n = ..) de chromosomes. La cellule-œuf qui en résulte est donc diploïde (2n = …..).Les deux génomes qui participent à la fécondation sont d'origine indépendante et apportent chacun un allèle de chaque gène. Des paires d'allèles sont ainsi constituées :
● si les deux allèles sont identiques, l'organisme est dit HOMOZYGOTE pour ce gène ;
● si les deux allèles sont différents, il est HETEROZYGOTE .
Dans une lignée pure, les individus sont homozygotes pour le ou (les) gène(s) responsable(s) du ou (des) caractère(s) étudié(s).
Les [phénotypes] des individus F2 issus du tableau de croisement sont cohérents avec les résultats expérimentaux de G. Mendel.
Il obtient 5 474 / 7 325 pois lisses (soit 74,7%) et 1 850 / 7 325 pois ridés (soit 25,3%). Il obtient donc les proportions de ¾ de …[pois lisses]…. et ¼ …[de pois ridés].
Qu'est-ce qu'un croisement-test ou test-cross ?
C'est un croisement entre un individu F1 (hétérozygote) et un individu ne possédant que des allèles récessifs (donc homozygote) qui, par conséquent, ne produit qu'un seul type de gamètes.
Corrigé : étude de la [couleur du corps] chez la drosophile (cas de monohybridisme : un seul caractère donc un seul gène, un seul couple d'allèles)
1°) Les deux [phénotypes] observés sont :
● des drosophiles au corps [gris orangé], les drosophiles sauvages ;
● des drosophiles au corps [ébène], phénotype lié à la mutation « ebony ».
2°) A l'issue du croisement n°1 entre deux drosophiles différentes de lignée pure, donc homozygotes, on obtient une F1 homogène : 100 % de drosophiles au corps [gris orangé] (phénotype sauvage) ; l'allèle « corps gris orangé » est donc dominant noté G,
et l'allèle « corps ébène » est récessif, noté e.
3°) Après comptage au niveau de la lame G5 issue du croisement n°2 entre un individu F1 (de génotype hétérozygote G // e, phénotype [G]) et un parent récessif (génotype e // e, phénotype [e]),
on a 21 / 40 drosophiles [G] (soit 52,5%) et 19 / 40 [e] (soit 47,5%).
4°)
Conclusion : les % théoriques de l'échiquier de croisements sont proches de ceux observés lors du comptage. Le génotype hétérozygote G // e de l'individu F1 est confirmé.
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