Arn polymerase

Synthèse temps 03

A travers cette synthèse du temps 03 intitulé DE LA VERTU DU MENSONGE EN LITTERATURE nous allons voir en quoi les trois textes que nous avons étudiés respectivement dans cet ordre qui sont : Pascal, n*78 imaginations; Cyrano de Bergerac, Histoire comique des États et Empire de la Lune et du Soleil et finalement La Fontaine, Le pouvoir des fables. Nous on permit de réfléchir et d’observer l’utilité de la fiction en littérature.

Texte 1 :Blaise Pascal : Pensée n*78 : Imagination

B.Pascal était un mathématicien, physicien et philosophe français. A 25 ans il a une révélation de Dieu. Après cette révélation il percevra l’imagination comme un danger car elle empêche la connaissance de Dieu. En 1650 il commence à retranscrire cette idée dans « Les pensées » ou il aura comme but premier de vaincre l’indifférence des non -croyants en décrivant la finitude et les contradictions de la nature humaine.

Le texte de pascal porte deux idées principales, la première est l’opposition de la raison à l’imagination et la deuxième l’imagination, la seconde nature le de l’homme.

I. Opposition de la raison a l’imagination

A. Dans un premier temps pascal va nous monter et persuader qu’il y a une réel différence et opposition entre l’imagination qui pour lui représente un danger et la raison :

- Personnification de la raison ligne 6 : « la raison a beau crier » (elle est soumise aux l’hommes et leurs imaginations)

- Ligne 7 : « puissance ennemie », on observe la domination de l’imagination qui se heurte à la raison.

- On observe également au niveau grammaticale le rôle dominant et dominé que joue respectivement l’imagination et la raison : . La raison est nommée alors que pour évoquer l’imagination on observe l’utilisation de périphrase

. La place des deux thermes dans les phrases, l’imagination = sujets alors que la raison = COD, donc ils sont placés aux antipodes.

B. On voit que les oppositions relever nous dévoiles plusieurs aspects du texte.

- L’absolu et le négatif : On voit que la raison travaille dans l’absolu, qu’elle accorde son juste prix au chose, qu’elle se fixe aux grandes vérités et qu’elle se détache de tout ce qui est secondaires (accessoire).

On voit à contrario que l’imagination quand a elle s’attache a l’apparence et met l’accent sur le paraître au lieux de l’être.

- La vérité et le mensonge : On voit que la raison est (ligne 23 : « pure et sublime »), qu’elle juge objectivement les faits (ligne 22,24 : « par leur nature »), donc une accumulation de thermes mélioratif pour la qualifier.

On voit a contrario que l’imaginations tournes le dos à la vérité, on voit une accumulation de thermes péjoratif pour la qualifié : « mensonge, faux, fourbe »

Donc un jugement plus tôt négatif.

- Pour finir on voit que la raison va s’inscrire dans la permanence alors que contrairement à elle, l’imagination s’inscrit dans l’instabilité.

II. L’imagination, la seconde nature le de l’homme

A. Le fait que l’imagination soit perçue comme une seconde nature, fait en sorte qu’elle domine : elle domine par rapport à la sagesse, a l’apparence, aux sentiments et aux sens. Elle est omniprésente notamment grâce aux périphrases, ce qui montre la force de son emprise sur l’homme et sur la raison. (Ligne 8 : « peut en tout chose »).

Elle domine également grâce a certain procéder comme la répétition du pronom personnel sujet « elle ».

B. L’imagination est donc considérée comme une seconde nature, Pascal le décrit en tous les hommes, y compris les plus respectables : « philosophe, avocat, magistrat ». Pascal nous montre que parfois l’apparence extérieur peut annuler un discours et il s’oppose aux grandes vérités de l’apparence.

On voit également que l’imagination touche plusieurs voir tous les domaines.

Elle permet de faire croie aux hommes qu’ils sont sages et habile contrairement à leurs réels conviction (ligne 12 : « habile par l’imagination » « sage imaginaire », (ligne 19) pascal évoque les domaines dans lesquels il dispense la réputation, donc l’imagination fait en sorte que les hommes existe et soit considérés dans une société et pour finir on observe a la dernière ligne la toute-puissance de l’imagination (ligne 21 : « combien toutes les richesses de la terre insuffisantes sans son consentement ».

Donc

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