Synthèse Alcools d'Apollinaire

Les différentes thématiques dans « Alcools » d’Apollinaire

Dans son recueil, Apollinaire aborde divers thèmes, celui notamment de la femme, qu’il utilise dans la plupart des poèmes comme dans Les colchiques, Annie… Il aborde également le temps qui passe, Comme dans Marie, ou il désespère de ne pas arriver à se rapprocher de la femme qu’il aime depuis le temps qu’il la courtise. On retrouve ce thème également dans Rhénane d’automne, fait l'apologie du cycle de la vie et de la mort. Il utilise aussi le thème de l’automne comme dans L’adieu, ou il parlera de cette saison avec mélancolie ainsi que dans Automne malade, ou Apollinaire la personnifie. La dernière thématique utilisée et celle de la ville, exploitée dans Zone, qui met à l’honneur Paris lors de la Seconde Guerre industrielle. Dans Un soir, il décrit une scène de suicide, dans laquelle on retrouve une touche de modernité dans la ville.

Apollinaire emploie plusieurs thèmes très redondants, mais le principal reste celui de la femme.

« Alcools » : le traditionnel utilisé par Apollinaire

Si on retrouve de la modernité dans ses poèmes, apollinaire parle et emploi aussi régulièrement le traditionnel.

Il l’utilise de différentes façons : par l’architecture, avec Le pont Mirabeau, ou il parle du pont comme du lien du passé au présent, ce pont existant encore à Paris.

Il l’emploie aussi à travers la Mythologie ou les contes, pour exprimer ses émotions, ses rêves, ses regrets et ses sentiments. On peut le retrouver dans La chanson du mal aimé, ou il détaille sa vie sentimentale. Il s’inspire de Cendrillon pour écrire Palais ou il s’improvise, guide à travers les châteaux. Il s’inspire également de Merlin l’Enchanteur dans Merlin et la vieille Femme.

Dans Saltimbanques et Le larron, il traduit le traditionnel par la religion.

Annie est un poème ou classique et modernité se mélangent. On retrouve le classique notamment à travers les Roses. On a également La Loreley, ou le mythe se mêle à la modernité.

Certains poèmes restent classiques non pas par leur contenu, mais par la forme, comme Clotilde, qui obéit aux classiques de la poésie.

Ils restent également dans le classique avec la nature, avec par exemple Les Sapins, ou Clair de Lune.

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