SES entreprises coût et marchés
Étude de cas : SES entreprises coût et marchés. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar juju4567890 • 28 Septembre 2019 • Étude de cas • 1 336 Mots (6 Pages) • 480 Vues
SES entreprises coût et marchés
1) Entreprise et entreprises
Les entreprises varis selon leur statut juridique, leur taille, la personne.
• Entreprise individuelle
Entreprise=entrepreneur, 1 seule personne Le statut juridique de l’entreprise et de l’entrepreneur sont confondu dans l’auto-entreprise. Entreprise n’est pas une personne physique mais morale. Il est responsable de l’ensemble des biens personnel tout seul de même que le patrimoine de l’entreprise du propriétaire. FAILLITE : saisie du patrimoine. Son patrimoine et le patrimoine de l’entreprise sont solidaires. EXEMPLE : agriculteur, commerçant, artisans
• Entreprise individuelle/unipersonnelle à responsabilité limité EURL EIRL
La responsabilité en cas de faillite est limitée aux apports : Capital apporté lors de la création de l’entreprise ou par la suite. En empruntant, payant les impôts et fournisseurs puis en faisant faillite il faut payer 1 : l’Etat 2 : les fournisseurs et 3 : la banque (car prendre un risque fait partis de son travail). On dépose un Bilan.
• Société à responsabilité limité SARL
Entre 2 et 100 associés il y a ainsi plus de fond commun leurs responsabilité est limité à leurs apports. Les SARL ont souvent des salariés à commencer par les gérant lui-même : il est nécessairement un associé, dont le revenu est mixte : provient du capital et du travail. Le but est de favorisé l’entrepreneuriat.
• Société anonyme
Les SA sont cotées en bourse dont le capital est divisé en actions : titre de propriété. La SA appartient à de nombreux actionnaires qui financent et reçoivent des dividendes : parts de profits. Le PDG et le CA est élu par l’assemblé des actionnaires une fois par an.
En France beaucoup d’entreprises sont publiques : SNCF, EDF il s’agit de monopoles naturels le plus souvent. Une entreprise qui grossit change de statut
D’autres ont une forte participation de l’Etat : Renaud 20% du capital appartient à l’Etat.
Cela donne à l’Etat du poids lors de décisions.
En 1995 plus de 1200 entreprises sont contrôlées majoritairement par l’état.
Il existe aussi une économie sociale et solidaire qui se distingue par sa gestion sa finalité son financement des entreprises du secteur privé marchande. Elle appartient aux salariés ou aux sociétaires : usagés réguliers détenant du capital. C’est une grosse part de l’emploi français.
Les entreprises diffèrent par leur taille et en France notre système productif est très concentré. Un petit nombre d’entreprises est responsable d’une grosse part de la production occupent la moitié de la main d’œuvre.
CA : montant total des ventes
EQTP : équivalent tremplin
Capital matériel : machines, locaux, véhicules utilisés pour produire.
• Micro entreprise : elles représentent 95% des entreprises mais n’occupent que 20% de la main d’œuvre.
• Petite et moyenne entreprise PME
• Entreprise de taille intermédiaire ETI
• Grande entreprise : représentent plus de 50% des exportations
On observe donc une forte concentration de l’appareil productif. Ensuite une concentration du capital, 50% et une grande concentration économique mesuré par le chiffre d’affaire. Grande concentration technique : ¼ de l’emploi alors que 0,007% des effectifs.
Concentration technique : forte répartition des effectifs salariés que l’on mesure grâce à l’indice de Gini.
Concentration économique : mesure du partage des parts de marché
Concentration du capital : concentration des biens de production matériel et immatériel
Les entreprises concentrent la majeure partie de leur capital au plan technique économique et plus encore à l’exportation. De plus notre système de production est hiérarchisé, pyramidale : les PME travaille souvent en sous-traitance pour les grandes entreprises.
Les entreprises sous-traitantes doivent respecter des contraintes techniques et de délai : elles doivent s’adapter. Cela permet aux GE de réaliser des économies et de gagner en souplesse en contrepartie pour les PME cela exige de la flexibilité et le recours plus fréquent à des FPE. Elles fabriquent les produits intermédiaires.
2) Combinaisons productives et coût de production
La production se divise entre la capital K et le travail L : Labor. Les différents assemblages constitue les combinaisons productives. Leurs facteurs doivent êtres proportionnels pour ne pas avoir de rendements décroissants. On distingue 3 cas différents :
• Facteur de productions parfaitement substituable
Le prix à l’unité de K : travail des machines et L sont égaux. Pour le même travail utilisé de la main d’œuvre ou des machines revient au même prix. Comme les métiers peu qualifiés et répétitifs. Combinaisons capitalistiques = travaillistiques
• Facteur de production imparfaitement/partiellement substituable
...