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Quelles politiques pour l'emploi?

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Par   •  3 Octobre 2018  •  Cours  •  2 002 Mots (9 Pages)  •  763 Vues

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Chapitre 2 : Quelles politiques pour l'emploi ?

I- Identifier les causes du chômage pour pouvoir lutter efficacement. 

A- Lutter contre le chômage par des politiques de relance ( soutien la demande ) 

1- Le chômage Keynésien 

Analyse Keynésienne :

Le chômage keynésien => insuffisance de la demande globale

=> mise en place de politiques de relance

2- Une politique de relance pour s'attaquer au sous emploi en soutenant la demande 

2009 : récession → hausse du chômage = chômage keynésien

Action de l’État + nécessaire : agir sur le marché des B&S pour faire repartir la demande et la production en utilisant des politiques adaptés.  

Politique monétaire de relance : baisser le taux d'intérêt →  favorise le crédit → l'investissement

La plus efficace = Politique budgétaire = état : augmenter ses dépenses et limiter ses recettes ( augmenter investissement public )

La reprise à eu du mal à se mettre en place dans la zone Euro.

3- Une efficacité conditionnée 

→ 80's : relance française ( relance Mauroy)

Contrainte extérieure dans une économie ouverte

Pb : pas eu d'effet sur le PIB français :

- beaucoup de fuites = profite aux partenaires commerciaux

Rien ne garantie que c'est la production nationale qui va être favorisée

→ après 2009: stop la relance pour éradiquer le chômage keynésien

Pb de la relance : coût +  un pacte de stabilité et de croissance + doit tenir compte des conséquences de l'endettement des État => dégradation des dépenses publiques.

Levée temporairement pour revenir dans le deal du pacte de stabilité :endettement de l’État pèse sur les citoyens, sur les générations futures.

→ Au niveau des ménages : politique de relance 

Pb de crédibilité de la politique menée et des anticipations ménages

Les ménages doivent être convaincus que la politique de relance va être menée de façon volontaire et durable : politique temporaire aggrave les comptes publics → hausse des impôts → baisse du PVHA.

Anticipation : les ménages épargnent

Pour qu'une politique de relance marche : pas d'anticipation

B. Lutte contre le chômage par des politiques d'allègement du coût du travail

Depuis les année 70 : hausse du chômage + croissance économique, pas de baisse du chômage ou de récession

1- Le chômage classique

Chez les libéraux : 

Pb d'offre, de rentabilité.

Les entrepreneurs n'embauchent pas : pas rentable →  coût de travail trop élevé par rapport à la productivité du travailleur.

Attention : coût du travail = salaire net  + cotisations sociales ( part salariale / part patronale) = salaire brut

Protection sociale pèse sur le coût du travail => défavorable pour l'embauche des travailleurs

Il serait possible d'alléger ce coût du travail en jonglant sur les cotisations sociales, on ne touche pas au salaire net et au PVHA du salarié.

2- Solution = alléger le coût du travail 

Élasticité => mesure l'impacte de la variation de l'une sur l'autre

- entre la demande du travail et la coût du travail :

=> si le coût du travail baisse, la demande de travail augmente = élastique

Le mesure libérale classique sont efficace à partir du moment où cette élasticité est forte.

Élasticité plus forte sur le travailleurs les moins qualifiés avec de bas salaires.

Choix d'une combinaison productive (entrepreneurs) :  les travailleurs les moins qualifiés : substitué par du capital car leur salaire serait trop élevé par rapport à leur productivité.

Si les pouvoirs publique décident d'alléger les charges sociales => choc d'offre positif

Baisse des coûts de production :

baisse des prix → hausse du PVHA → hausse de la demande → hausse de la compétitivité prix

 Hausse de l'embauche → freine la substitution capitale/travail

Les mesures de 94-97 : gouvernement de droite 

Mesures ciblées sur les bas salaires, alléger les charges sociales

→ 98-2000 : dans le cadre du passage au 35 heures

L'emploi non qualifié dans des économie moderne est voué à disparaître. Mais cet emploi non qualifié est repartit à la hausse = lien de cause à effet =effet positif pour les emplois non qualifiés.

Critiques :

→ impacte sur le chômage de masse peu évident

→ mesure ciblé sur les moins qualifiés mais il n'y a pas que des chômeurs non qualifiés.

→ effet d'aubaine : ces emplois auraient eu lieu quand même, même sans les baisses des charges sociales car les entrepreneurs avaient peut être des besoins à ces moment là

→ Ces baisses de charges sociales ont était mises en place sans contrepartie, il n'y a pas eu de contrainte ou d'attente chiffrée

→ Pour le patron : baisse des charges sociales → privilégie les bas salaires : mise sur d'autre forme de contrat → freine la formation pour les employeurs de l'entreprise pour embaucher d'autre travailleurs non qualifié qui ne vont pas évoluer pour maintenir ce volume de travailleurs peu qualifiés

→ Freine le financement de la protection sociale. Qui vont être compenser du côté des impôts, des consommateurs.

3- Adapter les politiques au chômage rencontré 

→ Théorie du déséquilibre : 

Chômage = Offre du travail est supérieur à la demande .

Keynésien = problème de demande

Classique = problème d'offre, les entreprises pourraient produire d'avantage

Crise pétrolière des années 70 : 

Choc d'offre : Hausse des coût de production → baisse de la rentabilité → hausse des licenciement = chômage classique

...

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