Limite écologique de la croissance économique

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Limite écologique de la croiss économique:

        La croissance économique à pour conséquence certains effet négatifs sur le stock des ressources. En effet, pour produire des bien et des services, il faut puiser dans le stock de capital naturel. Le capital naturel regroupe l’ensemble des ressources naturelles utiles directement aux hommes ou qu’il peut exploiter techniquement et économiquement. Dans le documents 2 dont la source est Cécile Désauney et Eric Vidalenc, « ressource naturelles: pénurie ou abondance ? » nous observons que en 1980, environ 13 milliard de tonnes de biomasse on étaient extrait dans le monde. En 2013, un peu plus de 20milliard (soit 1,5 fois plus de tonnes extraient). En 1980, environ 25milliard de tonnes de minéraux on étaient extraite contre environ 60milliard en 2013 soit une augmentation de 35points, est environ 2,4 fois plus. En 1980 environ 35milliard de tonnes de métaux on étaient extraient contre 85milliard en 2013 soit environ 2,4 fois plus et une augmentation de 50 points. Nous remarquons que ce sont les minéraux et les métaux qui connaissent la plus grande augmentation d’extraction. Toutes ces ressources ont une extraction croissante et cela s’explique par le besoin de créer et donc de devoir puiser dans les ressources. C’est pour cela que la croissance économique s’accompagne d’une hausse des extractions de ressources naturelles. Dans le document 3, d’après : « Éloi Laurent et Jacques le Cacheux, économie de l’environnement et économie écologique, coll « Cursus », Armant Colin, 2012 », il y a une diminution de surface de foret (environ 0,8 fois moins importante en 1990 que en 1890). Cette diminution s’explique par le besoin de celle-ci pour produire. Il y a un risque d’épuisement des ressources naturelles qui poserait un problème de soutenabilité de la croissance. La soutenabilitée ce définie comme la compatibilité de la croissance économique avec les principes du développement durable.

 Entre 1890 et 1990 la population a été multiplié par 4 et la produit intérieur brut par 14. Si la hausse du PIB (produit intérieur brut) est plus importante que la hausse de la population alors le revenue moyen par habitant augmente. Il y a donc une réel amélioration du niveau de vie. On peut faire un lien avec la croissance économique. En effet, l’augmentation de la production de biens et de services permet une baisse des prix et donc une augmentation du niveau de vie. On peut observer plusieurs conséquences à cette amélioration. Dans le document 3, nous remarquons que la prise de poissons marin est 35 fois plus importante en 1990 que en 1890. Plus il y a du pouvoir d’achat et plus les gens vont vouloir consommer. ll va donc falloir plus de ressources. Cela va donc favoriser la croissance économique mais également les risques de surexploitation des ressources comme par exemple celle des stock de poissons étudié ici. En plus des effets négatifs de la croissance économique sur le stock des ressources, d’autre contraintes environnementale apparaissent.

        La croissance économique débouche sur des modes de productions et de consommation générateur de fortes externalités négatives sur l’environnement. Une externalité négative désigne un préjudice, un inconvénient subis par un agent du fait de l’activité d’un autre sans que cela passe par le marché. Par exemple, la pollution est une externalité négative car celui qui pollue inflige des désagréments aux autres sans compensation financière. Nous pouvons remarquer d’après le document 3 que l’émission de dioxyde de soufre est 13 fois plus importante en 1990 que en 1890. Ce phénomène peut être mit en relation avec la hausse du PIB. En effet, la croissance économique demande aux homme de produire en quantité ce qui génère de la pollution. Le dioxyde de soufre est un gaz polluant qui participe à la formation de pluies acides. Celle-ci ont des conséquences visible sur le sol, la flore et la faune, les métaux et la santé. Si la santé des personnes est impacté, alors il y aura une baisse de travailleurs, donc moins de main d’oeuvre. Cela va entraîner une baisse de la productivité et par la suite un frein à la croissance économique. Ce phénomène impacte la soutenabilité de celle-ci.

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