Le progres technique
Étude de cas : Le progres technique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Thelucki • 5 Novembre 2021 • Étude de cas • 928 Mots (4 Pages) • 366 Vues
Depuis quelques années, le marché fait place à de nouvelles formes. Une partie d’entre elles convergent toutes vers le même secteur : Internet.
Ce secteur a permis l’émergence de nouvelles entreprises qui sont aujourd’hui, dont parmis elles, figurent les 5 plus grandes entreprises du monde : les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft).
Ainsi, ces innovations tournant autour d’internet génèrent une importante croissance de l’emploi dans les différents secteurs de cette nouvelle économie.
De cette manière, la croissance économique (hausse durable de la production) et les innovations (ensemble des modifications qui affecte les manières de produire des biens ou services déjà incorporé au marché) sont liés.
Mais comment les innovations favorisent-elles la croissance économique ?
Afin d’y répondre nous débuterons notre analyse en montrant dans un premier temps que oui, les innovations jouent un rôle favorable dans la croissance économique pour ensuite terminer les autres rôles moins favorables de l’innovations sur la croissance économique.
I)Les innovations favorisent la croissance économique :
- L’innovation joue un rôle dans la production. On remarque différents types d’innovations.
Pour améliorer l’efficacité du facteur travail pour ainsi faire des gains de productivité, on peut améliorer la qualité individuelle du travail (formation, études…).
Mais aussi améliorer la qualité collective du travail (innovation organisationnelle).
L’amélioration du facteur capital oblige un investissement qui amène des innovations, souvent technologique, pour ainsi bénéficier d’une amélioration du capital humain (innovation de procédé). Ces dernières années ces innovations sont marquantes notamment avec l’apparition de certaines machines.
Le progrès technique alimente donc la croissance économique. Prenons l’exemple du groupe français Renault dans les années 1980. Le modèle R5 coutait 14 smic tandis que son équivalent de nos jours n’en coute plus que 10, sachant que le modèle est qualitativement supérieur : cela nous est permis grâce à l’amélioration de la production chez Renault avec une meilleur automatisation de la production : on retrouve ici l’innovation organisationnelle.
Puis d’après le document 2 on constate que l’évolution du nombre de brevet déposés en 10 ans augmente fortement : cette augmentation est liée à l’innovation de l’accès a la formation ou à l’éducation.
- Il y a plusieurs types de capitaux : physique, humain… Ces capitaux progressent grâce aux investissements et prennent la forme d’innovations qui produisent des effets positifs quant aux gains de PGF.
Ainsi le progrès technique est produit par le système économique est lui-même endogène.
La croissance elle-même génère des revenus et de l’expérience favorable à l’accumulation des capitaux (cercle vertueux). Les institutions publiques contribuent aussi à l’accumulation du capital et des innovations favorables à la croissance.
Une partie des dépenses publiques permettent de financer l’éducation, l’accès au soin, la formation ce qui améliore le capital humain.
Mais la recherche et développement, qu’elle soit publique ou privée, améliore le capital technologique et par conséquent le capital humain.
D’après le graphique du document 4, on constate que les dépenses intérieures de recherche et développement en France représentes près de 2,25%du PIB annuel (basé sur les administrations publics et privés).
II) Les innovations peuvent jouer d’autres rôles dans la croissance économique
- D’après Schumpeter, les innovations influencent les fluctuations économiques de la croissance (quand une innovation apparait, elle créait une phase d’expansion).
Il y a une apparition de la croissance et donc du niveau de vie.
Cependant, du fait du processus de destructions créatrices (apparition de nouveaux secteurs économiques qui en font dispâraitre d’autres), les suppressions d’emploi deviennent fréquentes au sein des secteurs « touchés » par cette destruction et nous voyons petit à petit une phase de récession dans ces secteurs devenus obsolètes.
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