La croissance a-t-elle un avenir ?

Sujet : « La croissance a-t-elle un avenir ? » ( HEC 2018)

INTRO :

Accroche/ Chaque année, une statistique très alarmante mais peu connu fait son apparition. Il s’agit d’une statistique qui met en avant le nombre de planète comme la Terre que l’Homme aurait besoin pour assouvir ses besoins, chaque année elle ne cesse d’augmenter. Aujourd’hui, il faudrait 6 planètes ( modèle américain) pour répondre aux besoins humains, nous sommes dans un contexte où il faut rechercher une croissance qui est dit soutenable afin de ne pas compromettre la vie de nos génération future.

Définition/ La croissance est défini comme « une augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en termes réels » par F.PERROUX. Cependant il faut aussi expliciter le terme d’avenir qui a pour but de refléter le futur proche ou lointain, la question du court et long terme se pose alors à nous. AVENIR ( fini, doit-elle avoir un avenir, peut elle continuer). Parler de stagnation, inégalités sociales et environnementale. Etoffer en posant d’autres problèmes.

Pb/ Dans quelle mesure la croissance peut elle perdurer dans le temps ? Comment dépasser ses limites ?


PLAN :

I / Si la croissance est un élément important dans un contexte court termiste. ( A REFORMULER. —> pour montrer son avenir )

A. La croissance permet une amélioration du mode de vie et d’une augmentation du niveau de vie.

B. C’est un élément essentiel du développement humain qui permet de diminuer les inégalités.

II / Toutefois, sur le long terme la croissance possède des limites.

A. La croissance n’est pas toujours inclusive et n’amène donc pas toujours à une amélioration du bien être.

B. La croissance dégrade l’environnement et n’est pas soutenable dans un monde « clos » aux ressources limitées.

III / Comment peut-on les dépasser ?

A. Dans un cadre de stagnation séculaire, un débat s’opère entre la redéfinition d'une croissance plus verte et soutenable ou plus radicalement le choix de la décroissance.

B. La croissance ne semble plus constituer un outil pertinent de mesure du bonheur. Il faut alors repenser les indicateurs de richesse et déconstruire nos représentations associées au paradigme de l'accumulation pour trouver de nouveaux moyens de répondre à nos désirs infini.

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