La croissance économique

ECONOMIE : LA CROISSANCE ECONOMIQUE  

CHAPITRE 1 : LA CROISSANCE ET SES SOURCES

Croissance : hausse durable de la production de biens et services et donc des richesses, on la mesure grâce au taux de variation de son PIB. Croissance en valeur (hausse de la quantité et des prix) VS croissance en volume (juste quantité). La croissance est possible que si les fruits de la croissance sont partagé entre le facteur travail et capital (pas le cas en Tunisie par exemple, Ben Ali).

Grandes évolutions : phénomène récent, jusqu’en 1970 = 5% puis 2% et enfin, aujourd’hui 0,3% : faible et instable, croissance par innovation contrairement au pays émergent qui ont une forte croissance par imitation.

Conséquence de la hausse du PIB :

=> amélioration de l’espérance de vie (progrès technique, accès aux soins généralisés) ou le temps de travail

Limites du PIB : sous-estime une partie de la production, prend en compte des éléments qui ne sont pas une amélioration du bien-être (sur estime une partie de la production) et il ne donne aucune information sur la réparation des richesses. Mais il mesure correctement la production déclarée et rémunéré et souvent corrélé aux autres indicateurs. Sinon, IDH (3D : santé, éducation et revenu) ou encore IPH

Les sources de la croissance :

France et Japon, croissance principalement intensive et extensive par les USA

Croissance endogène : croissance générée par les acteurs économiques. Il s’agit de l’accumulation de capital technologique (stock de connaissance scientifique et technique qui permettent d’accroitre la productivité des facteurs), humain (savoir, savoir-faire, savoir être pouvant améliorer son efficacité) et publics (stock d’infrastructure financer par la puissance publique comme les transports, écoles) qui produisent des externalités positives => Rôle important à l’état, séries d’interventions pour favoriser la croissance à long terme -> financer la recherche, l’innovation, l’accumulation de capital humains ou technologique en créant des infrastructures => politique structurelle

Rôle des institutions dans la croissance : Sans institutions, les entreprises ne se développent pas car elles ont peur de se faire voler le fruit de leur efforts. Les institutions sont donc utiles et de 3 types :

Exemple important : droit des brevets, ils permettent aux entreprise de retirer les profits de leur innovation, cependant inconvénients pour l’activité économique : durée limitée pour que la connaissance se diffuse et profite à tous (médicament générique).

CHAPITRE 2 : LA CROISSANCE ET SES FLUCTUATIONS

Fluctuations économiques : ensemble des mouvements de ralentissement et d’accélération du rythme de l’activité économiques. Quand les fluctuations obéissent à une certains régulation on parle de cycle économique

4 faces dans une fluctuation :

Crédit : prêt de la banque à un agent économique en contre parti d’intérêt versé à la banque. Le taux d’intérêt dépend du risque du crédit (capacité d’un agent économique à rembourser.

Le crédit est positif pour l’économie : il favorise la consommation (pas d’épargne = pas d’achat, mais grâce au crédit c’est possible) ainsi que l’investissement ($ = production = $ pour rembourser le crédit, si pas de crédit, pas de production). En accordant ou non des crédits, les banques amplifient les fluctuations économiques (+ de crédit = + de consommation et réciproquement).

Période

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