En Amazonie, J.B Malet

Mehdi Sadouk 1ES1

Introduction :

Jean-Baptiste Malet, En Amazonie infiltré dans « le meilleur des mondes », Paris : Fayard 2013.

Jean-Baptiste Malet, né le 16 avril 1987 à Toulon, est un journaliste français, il travailla pour  Le Monde diplomatique, Charlie Hebdo, L'Humanité, Golias Hebdo, Regards, Témoignage chrétien, Rue89, Bakchich et Le Ravi . Mais il est aussi un auteur, il publia Derrière les lignes du Front en 2011 mais nous allons nous intéresser au livre En Amazonie, qui est une enquête menée au sein d’un des entrepôts de la grande enseigne Amazon dans lequel l’auteur est infiltré et essaye de dévoiler la face cachée de cette enseigne en se mettant dans la peau d’un « pickeur ». L’auteur commence son aventure en ayant déjà un point de vue négatif d’Amazon, il veut aussi démontrer que l’enseigne crée plus de chômage que d’emplois.

Argumentation :

Dans les premiers chapitres du livre l’auteur tente de se faire embaucher, mais avant il nous explique ce qu’est Amazon que ce soit sur le plan économique ou sur le plan commercial « 110000 produit expédiés en une seule journée d’activité », « à réaliser en 2012 plus de 60 milliard de dollars de chiffre d’affaire ». L’auteur nous explique donc comment se passent les entretiens d’embauche dans les premiers chapitres, il montre à quel point les responsable d’embauche d’Adecco veulent dissuader les personnes non motiver de travailler dans cette entreprise. Il prouve donc que l’entreprise est consciente que le travail est difficile, et qu’il ne semble pas y avoir d’effort pour réduire cette difficulté. Dans le chapitre 3 est expliquer les différents postes qui sont proposer à Amazon et leurs difficultés impressionnantes. Dans les chapitres suivant l’auteur et embaucher après une longue attente en tant que « pickeur ».

Il commence donc son travail de nuit, et en créant des liens sociaux avec les autres travailleurs il apprend que l’objectif de tous les autres intérimaires était d’obtenir un CDI à la fin de leurs contrats, et que pour cela certains entaient près à trahir leur collègue auprès de leurs supérieurs. Il prouve ainsi que Amazon détruit les relations sociales entre les employer mais pas que de cette manière, car l’auteur explique ensuite qu’avec les travaux de nuit la vie sociale en dehors du travail était ruinée au fil des années. Dans le chapitre 8 Jean-Baptiste Malet reçoit un témoignage des injustices d’Amazon envers les employer, il est dit que les pose ne dure qu’en réalité seulement 5 minutes, et que Amazon gagne « mille deux cents heure de travail non payer aux salariés » tout cela parce que la pointeuse n’est pas là où elle devrait être, et que malgré la demande des syndicalistes l’entreprise ne change pas la place de la pointeuse. Dans le chapitre 10 Malet dénonce l’intention d’amazon d’influencer les salariées avec son slogan « work hard, have fun, make history ». Dans le chapitre 11 l’auteur parle de l’idée principale du livre selon moi, qui est le marché du livre numérique qui concurrence le livre papier ce qui a pour cause de détruire des emplois dans les librairies mais ont pourrais citer la « destruction créative » qui dit que quand un emploie est détruit un autre est créé, seulement Malet se justifie en disant que  « la librairie indépendante française représente une activité qui génère deux fois plus d’emplois que les grandes surfaces culturelles » et qu’il faut « dix-huit fois moins d’employés dans un entrepôt logistique d’Amazon que dans une librairie » ce qui prouve que Amazon créé plus de chômage que d’offre d’emplois. Une seconde grande idée principale du livre d’après moi se trouve dans les chapitres 13 et 14 dans lesquelles l’auteur avait rendez-vous avec un employé pour recueillir son témoignage. L’employé ne vint pas par peur des représailles de l’entreprise. L’auteur nous explique que cette crainte n’avait nul d’être car le code du travail autorise un employé à donner son avis à propos de son travail. Nous arrivons finalement à la fin du livre ou Jean-Baptiste Malet décide de démissionner car il est au bout de ce qu’il pouvait prouver.

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