Unité religieuse, Emile durkheim
Commentaire de texte : Unité religieuse, Emile durkheim. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar timgotte • 9 Mars 2021 • Commentaire de texte • 627 Mots (3 Pages) • 478 Vues
Commentaire de Texte Philosophie
Ce texte est tiré du livre Les formes élémentaires de la vie religieuse écrit par Emile DURKHEIM. Ce texte s’interroge sur la croyance divine et tente de répondre
A la question suivante la foi collective existe-elle et que permettrai-t-elle ?
Tout d’abord on peut penser que la solitude dans les croyances pourrait permettre une concentration plus importante dans la foi et d’éviter d’être distrait et ainsi de rester concentrer dans nos pratiques. On peut prendre exemple sur « les Bonne sœurs » qui dans les monastères non de relation qu’entre elle, leur foi n’est pas pour autant moins importantes que d’autres.
Pourtant dans cet extrait de texte l’auteur nous montre l’importance de la cohésion des humains dans les croyances divines
Dans un premier temps nous verrons ce qu’entraine la solitude dans les croyances dans un second temps nous verrons qu’elle solution permettra un regain de la foi et de la passion divine puis nous finirons par voir ce que permet le regroupement des individus ayant la même
Dans la première ligne du texte, Durkheim affirme que l’entente entre tous les humains sur les divinités et les êtres sacrés n’est pas possible, par la suite il évoque le faites que si l’humain ne fait pas d’effort pour conserver et raviver sa foi et sa passion pour son dieux cela finira par rendre sa croyance comme quotidienne et installera une sorte de « routine divine ». Cette sensation pourra provoquer selon lui un oubli de sa croyance la rendant au même stade que son quotidien enfouissant sa passion au fin fond de son inconscient pouvant provoquer un oubli total de ses croyances.
Selon lui le seul moyen de raviver cette passion divine est de retourner au fondement de la passion et de la foi soit le regroupement et le partage de ces croyances avec un groupe. Il caractérise ces groupes comme la « source » de la croyance religieuse laissant penser que selon Emile Durkheim sans un rassemblement et un partage des croyances divines la réelle passion divine est impossible et n’aurait jamais existé. De La ligne 8 à 9, il conforte alors l’idée annonçait dans la phrase numéro 2 dans lequel il explique que le seul moyen de redonner de la force à la croyance est de se rassembler par groupe de chercher à résoudre les problèmes ensemble c’est pour lui le seul moyen réellement efficace pour ce problème. Il le définit comme « remède » comme si la solitude religieuse était une maladie provoquant une épidémie dans la foi de tous et que le rassemblement soit la seule médicament\vaccin contre ce problème.
A la ligne 10, l’auteur utilise le mot « triomphe » lorsqu’il parle de ce que permet la croyance collective comme s’il venait de remporter un combat\une guerre, montrant bien que pour lui le combat contre la solitude religieuse est d’une très grande importance, il permettrai d’ôter tous doutes de l’esprit des croyants, on peut relier ce mot qui est lié au champ lexicale de la guerre à celui du champs lexical de la maladie dans la phrase précédente.L’auteur laisse à penser que si les êtres sont réunis dans leurs croyances alors ces croyances deviennent assez résistantes pour résister à tous ce qui l’affaiblissait auparavant Ce rassemblement permet selon lui de rendre les dieux immortels étant donné qu’ils vivent en nous, il reste donc vivant en nous temps que nous vivons, tant que nous restons ensemble dans notre croyance.
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