Un livre doit-il forcément être dérangeant pour plaire ?

«Je voudrais faire un livre qui dérange les hommes, qui soit comme une porte ouverte et qui

les mène où ils n'auraient jamais consenti à aller, une porte tout simplement abouchée à la réalité.» a écrit Antonin Artaud. Un livre doit-il forcément être dérangeant pour plaire ? Ou il doit nous montrer ce que nous voulons voir ? De prime à bord nous pourrions nous demander qu’elle est la fonction d’un livre ? Un livre doit-il avoir une utilité ? Nous pouvons répondre à ces questions grâce à l’anthropologie et à la philosophie.

Un auteur peut choisir d’écrire un livre car c’est son métier et qu’il a besoin d’argent pour vivre, même les écrivains les plus doués peuvent ressentir des difficultés économique. dans ce cas de figure, ils vont privilégier le style, la beauté de l’écriture, la satisfaction esthétique et donc le confort. En premier lieu, nous verrons pourquoi un auteur peut choisir de rester dans une « zone de confort ». Puis, nous montrerons que certaines œuvres littéraires ont pu choquées les mœurs. Enfin, nous verrons que parfois certaines réalité se trouvent dans la conformité des choses, dans ce que l’on attend.

«Je voudrais faire un livre qui dérange les hommes, qui soit comme une porte ouverte et qui

les mène où ils n'auraient jamais consenti à aller, une porte tout simplement abouchée à la réalité.» a écrit Antonin Artaud. Un livre doit-il forcément être dérangeant pour plaire ? Ou il doit nous montrer ce que nous voulons voir ? De prime à bord nous pourrions nous demander qu’elle est la fonction d’un livre ? Un livre doit-il avoir une utilité ? Nous pouvons répondre à ces questions grâce à l’anthropologie et à la philosophie.

Un auteur peut choisir d’écrire un livre car c’est son métier et qu’il a besoin d’argent pour vivre, même les écrivains les plus doués peuvent ressentir des difficultés économique. dans ce cas de figure, ils vont privilégier le style, la beauté de l’écriture, la satisfaction esthétique et donc le confort. En premier lieu, nous verrons pourquoi un auteur peut choisir de rester dans une « zone de confort ». Puis, nous montrerons que certaines œuvres littéraires ont pu choquées les mœurs. Enfin, nous verrons que parfois certaines réalité se trouvent dans la conformité des choses, dans ce que l’on attend.

«Je voudrais faire un livre qui dérange les hommes, qui soit comme une porte ouverte et qui

les mène où ils n'auraient jamais consenti à aller, une porte tout simplement abouchée à la réalité.» a écrit Antonin Artaud. Un livre doit-il forcément être dérangeant pour plaire ? Ou il doit nous montrer ce que nous voulons voir ? De prime à bord nous pourrions nous demander qu’elle est la fonction d’un livre ? Un livre doit-il avoir une utilité ? Nous pouvons répondre à ces questions grâce à l’anthropologie et à la philosophie.

Un auteur peut choisir d’écrire un livre car c’est son métier et qu’il a besoin d’argent pour vivre, même les écrivains les plus doués peuvent ressentir des difficultés économique. dans ce cas de figure, ils vont privilégier le style, la beauté de l’écriture, la satisfaction esthétique et donc le confort. En premier lieu, nous verrons pourquoi un auteur peut choisir de rester dans une « zone de confort ». Puis, nous montrerons que certaines œuvres littéraires ont pu choquées les mœurs. Enfin, nous verrons que parfois certaines réalité se trouvent dans la conformité des choses, dans ce que l’on attend.

ogol

Nicolas Gogol (Николай Васильевич Гоголь), est de nationalité russe, mais il est né à

auteur du XIXème siècle. Il écrit des : romans, nouvelles, poésies (prose narrative), drames (théâtre). Il écrit aussi des critiques de littéraire ainsi que des publicités russes.

Il commencera à publier ses premières œuvres sous un pseudonyme (V.Alov). Il s’installe à Saint-Pétersbourg en 1828, où il occupera des emplois administratifs dans des ministères et c’est là qu’il commencera à publier des nouvelles. Il y rencontrera Pouchkine. Ce dernier l’encouragera à écrire. Gogol est de la même époque qu’Alexandre Pouchkine, il lui survit, puisqu’il vivra vingt années de plus. Il obtiendra ses premiers succès avec un recueil de nouvelles fantastiques et grotesques qui s’inspire de la vie des paysans en Ukraine “Soirées du hameau de Djkanka”. Il va surtout écrire dans les années 1830. A son époque c’est la prose qui domine.

En 1833, il devient professeur adjoint à l’université de Saint-Pétersbourg. Mais ce travail n’était pas fait pour lui alors il retourne à la littérature. Il va publier un nouveau recueil “Arabesques” Qui contient notament “La Perspective Nevski”.

Quelques années plus tard (1835-1837) il va continuer à publier des nouvelles et une pièce de théâtre, dont les représentations

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