Qui suis-je admet-elle une réponse exacte ?

philosophie → qui suis je admet elle une réponse exacte

Tout d’abord, un jour le grand philosophe Socrate a dit  « connais-toi toi même ». Cette citation nous a poussé à réfléchir sur qui nous sommes ? Nous connait-on nous nous même.

Ce qui nous a donc amener à nous demander si la question  qui suis-je admet -elle une réponse exacte ?

Notre première partie portera sur le pouvoir de la conscience. Ensuite, les limites de la conscience feront l’objet d’une deuxième partie. Enfin, la connaissance de soi sera un sujet abordé dans une dernière partie.

I) Le pouvoir de la conscience

a) ma conscience me confère mon statut de sujet moral

→ la conscience est une facultés morale qui nous rappelle que l’on est les auteurs de nos pensées

→ habitus de Bourdieu traduit toutes les normes sociales intégrées par un individu. Il permet de définir et défendre une conception du bien et du mal

→ la troisième institutions topologiques freudienne qui est le « sur moi ». Cette dernière institutions désigne un organe de censure, censée bloquer les pulsions inacceptables du ça, qui a intériorisé les règles imposées pendant l’enfance

b)  la conscience de soi

→ Kant s’intéresse à la conscience humaine et à l’émergence humaine

→ Selon Kant la progression du « je » traduit l’accès à la conscience de soi

→ la conscience de soi révèle à l’être humain sa propre existence

→ l’emploi du « je » montre que l’individu est un sujet à part entière. Il révèle notre singularité, notre originalité et notre unicité

II) Les limites de la conscience

a) le doute est- il un point de passage obligatoire ?

→ les autres individus peuvent nous influencer sur plusieurs de nos pensées, de nos décisions et de nos idées

→ c’est pour cela que Descartes pousse les individus à douter car nos sens peuvent nous tromper (les illusions d’optiques). Il appelle ça le doute cartésien cela désigne la remise en question de façon rigoureuse et méthodique un par un. Ce questionnement peut être utile afin que l’individu puisses se rendre un jour de qui il est

b) l’inconscience

→ trouver son moi profond par le biais de différentes topologies freudiennes

→ le « moi » renvoie à la personnalité inconsciente de l’individu. Il est développé dès la petite enfance. Cela signifie donc que l’on a pas réellement conscience de qui nous sommes

→ la « ça » englobe toutes les pulsions inconscientes de l’individu. Elle est présente dès la naissance

→ ces topologies freudiennes renvoyant à l’inconscience montre que cette notion d’inconscience est présente dès la naissance. Nous pouvons penser que le développement de la conscience peut arriver progressivement et donc nous faire prendre prendre conscience de qui nous sommes plus tardivement au cours de notre existence

III) la connaissance de soi

a) les notions qui nous renvoies à nous même

→ la conscience, l’inconscience, le bonheur et l’art nous renvoie directement à nous même

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