Pourquoi la vie ?
Thèse : Pourquoi la vie ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Urgh_fuck • 30 Mai 2018 • Thèse • 1 088 Mots (5 Pages) • 537 Vues
Parce que.
Je pense qu’il faut tout d’abord commencer par dire que la vie ne se finie jamais, la mort semble être son prolongement, le suicide n’est donc pas une issue pour échapper à la vie.
Il faut bien évidemment penser que chaque personne est libre de faire ce qu’il veut.
Je fais ce que je veux .
Je ne veux pas payer pour accéder à un commentaire littéraire sur les sépares de Marceline Desbordes Valmore.
Alors je crie. Et j’écris.
Je suis libre de vivre. Je suis libre d’être aidé.
Je veux avoir accès à ce commentaire s’il vous plaît.
Je ne recopie pas dessus pour un devoir, ce serait trop simple. Je veux juste voir comment faire une conclusion pour ce poème.
J’aime la vie.
Tuez moi.
Je veux mourir pour être éternel.
L’argent ne fait ni le bonheur ni le savoir.
Alors pourquoi payer pour avoir accès au savoir ?
Cela devrait être illégal.
Mettez des publicités plutôt que de faire payer des étudiants pour avoir accès à ça! C’est tout bonnement idiot.
Je.
Je suis heureux
Mais la tristesse me détruit.
Je me sens vide
Mais rien ne me comble.
Je veux en finir
Mais je ne suis pas lâche.
Je me fais souffrir
Mais je ne regrette pas.
Je pense trop
Mon esprit me dévore.
Je ne peux pas m’échapper
Mon coeur est rongé;
Par la rancoeur de mon cœur
Par la douleur.
Par le passé sans me lasser
De me nourrir de mes souvenir
Par la faiblesse de l’être humain
Par la faiblesse de chacun.
Par mes rêves qui me perdent
Entre la réalité qui m’achève
Entre mon imagination qui me détruit.
Alors que mon futur devient mon présent
Que mon présent devient mon passé
Mes yeux se ferment à jamais.
A pure disaster frightening with my senses.
An unstable marriage defeating my anger.
My infernal lust lost in a dream send by email.
A disoriented, uncontrollable death is falling in a calm waterfall.
D
I
S
A
S
T
E
Mon coeur est lourd
Mon coeur me brûle
Mon cœur hurle
Il se plaint d’une douleur insoutenable
Ou d’un pincement insolent
L’empêchant,
Douloureusement,
De battre correctement.
Mes yeux sont rouges
Mes yeux me brulent
Mes yeux débordent
Ils aident mon coeur à se soulager
De ce sentiment méprisant,
Compressant,
Délicatement,
La rose fanée gisant en moi.
Ma peau est fine
Ma peau se sépare
Ma peau laisse
Enfin un échappatoire
À mes souffrances,
À mes regrets,
Laissant couler
Le rivière rouge
Hors de son lit bleuté.
Mon coeur est léger
Mes yeux sont clos
Ma peau immaculée
Il a cessé de hurler,
Ils ont cessés de pleurer,
Elle a cessée
De faire couler
La rivière rouge hors de mes veines.
Je m’endors désormais
Dans mon lit de chêne,
Cadeau si vite gagné,
Vers un vide reposant.
Résous moi
C’est dans un problème des plus inattendus,
Que j’entrevois une solution assez floue,
Qui me permettra de trouver cette inconnue,
Cheveux bouclés et statures courbées,
Traçant dans mon coeur des arcs entrelacés,
Et je continu d’embrasser
Ce rêve qui me laissera regagner ma matrice.
Le vide en moi me submerge
Il m’étouffe et m’empêche
...