Philosophie: le travail et la technique
Cours : Philosophie: le travail et la technique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jojo_nawes • 2 Mars 2017 • Cours • 2 967 Mots (12 Pages) • 855 Vues
Le travail et la technique
Introduction:
« Il faut travailler pour ganter ça croûte », « tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». Ces deus formules populaire et biblique exprime les caractères pénible et contraint du travail. L’homme n’a pas le choix, il travail par nécessité vitale pour gagné son pain, cette contrainte lui ai imposé par la nature et par Dieu. En outre le travail, est fatigue, souffrance comme indique également l’étymologie du travail dérivant du latin « tripalium » ; la bible présente aussi le travail comme un châtiment divin, après le pêché Adam e Eve ont été chassés du Paradis condamner pour le premier de travailler et elle d’accoucher dans la douleur.
Enfin, le jeu activité libre, gratuite, dénuer de toute utilité et préféré au travail, activité contrainte intéresse qui désigne de la discipline des désirs et des instinct.
Ainsi le travail par son étymologie, par ses représentations populaires et bibliques, par son opposition aux jeux est tout d’abord apparu comme le contraire de la liberté mais très vite le christianisme va corrigé cette première approche du travail. De punition divine, le travail va devenir moyen de se racheter et de gagner le paradis, et dans ce nouveau contexte c’est l’oisiveté mère de tout les vices qui est condamné. L’économie avec Marx, la philosophie avec Hegel , vont montré dès le XIX siècle que le travail est source de richesse, qu’il est production incessante de la nature et de l’homme et qu’il est libérateur. Au XX siècle les femmes révendiquent l’égalité des sexes par le travail. Alors faut-il voir dans le travail, certitude ou liberté? quel est la nature du travail? En quoi le développement des oeuvres techniques ont-ils profondément bouleversé le travail humain? Enfin est-ce le travail ou la technique qui aliène l’homme?
LE TRAVAIL SPECIFIQUEMENT HUMAIN
L’oiseau construit son nid, l’abeille produit son miel. Il est vrai que les animaux se livrent à des activées qui à première vue est semblable au travail humain, mais qui en diffère radicalement à l’analyse.
En effet les activités chez les animaux sont instinctives, fixé une fois pour toute pour l’espèce, il n’y a ni inventivité , ni créativité chez l’animal. L’abeille ne produit pas de miel c’est fixé une fois pour toute. A la différence de l’animal, l’homme ne produit pas instinctivement, mais pense son travail avant de l’exécuter. Ainsi l’artisan qui veut produire un coupe papier, se représente à l’avance la finalité de l’objet: couper du papier, il imagine un modèle, un plan qui tienne compte de cette finalité puis ils renient les matériaux susceptible de remplir cette fonction, avant de réaliser enfin son coupe papier . Le travail humain est réfléchi opposé au travail animal qui est instinctif. En outre l’homme peut produire une infinité de choses, alors que l’animal reste spécialisé sur un type de production. Alors que l’activité de l’animal évolue très peu, le travail de l’homme ne cesse de se transformé et de se perfectionner grâce aux avancés technologiques. Si l’animal se sert de son corps comme un outil, l’homme lui interpose entre l’objet qu’il travail et son corps des outils des machines qu’il invente et dont l’emploi facilite et augmente sa puissance d’action sur la nature. Or qu’est-ce qui caractérise l’outil? Avant tout d’avoir été fabriqué pour but de crée certaines missions, l’outil est conservé pour un usage intérieur. L’outil témoigne d’une organisation du travail dans le temps, il suppose conscience du temps, capacité à se prostré dans l’avenir ce qui semble hors de porté de l’animal.
QUESTIONS:
N°1: Comment Karl Marx définit-il le travail?
Il définit le travail « comme un acte qui se pose entre l’homme et la nature » il s’agit d’un acte psychique de transformation de la nature dont la finalité est la satisfaction des besoins. Dans cette définition Marx limité le travail à la sphère de cette production, mais cette acte de transformation n’est pas unilatéral, il est bilatéral « en même temps qu’il s’agit sur la nature […] il modifie sa propre nature et développe les qualités […] » le travail n’est pas simple transformation. En travaillant l’homme intériorise, objective, développe ses propres capacités et devient autre.
N°2: Quel est la distinction entre le travail animal et le travail humain?
Le travail de l’animal ne se distingue pas de celui de l’homme sur le pan qualitatif « abeille construction de sa propre ruche parfaite » mais le travail humain se distingue du travail animal sur le plan de la réflexion, il construit la cellule dans sa tête avant de construire dans la ruche.
N°3: Qu’est-ce qui requiert le travail?
Le travail requiert des qualités spécifiquement humaine comme l’imagination, la conscience, l’attention et en retour le travail contribue à les développés.
Le travail pour Marx n’est pas spontané ni naturelle, il demande des effort physiques mais surtout des efforts psychologiques. Le travail maintient la volonté dans un état de tension permanente.
Le travail est spécifiquement humain car il met en jeux des qualités intellectuelles et psychologiques propre à l’homme. Voyant donc en quoi le travail est non seulement transformation de la nature mais aussi la transformation de la nature humaine.
II. LE TRAVAIL EST A FOIS TRANSFORMATION DE LA NATURE ET TRANSFORMATION DE LA NATURE HUMAINE
A. Le travail et la nature
Le travail est tout d’abord une activité au service des besoins de l’homme. A cette fin il transforme la nature: le paysan transforme par son activité une terre en friche en une terre cultivé. Le menuisier compte à lui transforme un tronc d’arbre en une planche et en planche une bibliothèque. Il est vrai qu’aujourd’hui le travaille s’étend à des activités scientifiques, artistiques, intellectuelles qui n‘était autre fois considéré comme du travail car elle ne relevait pas de l’activité de production.
Exemple: dans l’antiquité on distinguait les hommes libres de l’esclave par le travail. Les hommes libres étaient libéré de tout travail
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