Peut-on penser sans préjuger ?

La connaissance

• ( la vérité, la raison, la science, le langage,la religion,la nature )

D’après le chapitre précédent. Il en ressortait cette idée que la recherche de la vérité aurait pour condition initiale une mise en question radical de l’opinion. Il convient d’interroger que l’opinion serait par nature si non étrangère à la vérité du moins à la connaissance de celle-ci.

Le présupposé qui est admis par Socrate est que l’opinion est suspecte , étranger et donc impropre a nous faire accepter .

Mettre à l’examen ce présupposé .

Au regarde de la conscience commune , cette opposition que le philosophe semble établir entre l’origine d’opiner et connaître entre opinion et vérité est très loin d’aller de soit .

Ainsi , somme nous le plus souvent tenter de considérer que toutes opinions en tant que l’expression d’un point de vue sur la réalité , aurait une certaine vérité , Sa vérité , d’où les formules d’usage « il a pu dire sa vérité »

Ces manières de parler , ces usages langagiers et les attitudes dont il témoigne dessine en fait une certaine conception , une conception implicite de la vérité .

= La conception relativiste du vrai . Ou relativisme = plus général .

Le relativisme morale et esthétique →relativisme morale = le bien morale serait relatif , relativisme esthétique = correspond à l’idée que le beau serait relatif .

Les valeurs au fond = le vrai , le bien , le beau ; le relativisme au fond = idée que les valeurs serait relative .

Ce qui est relatif s’oppose à l’absolue .

Est relatif ce qui n’est ou ne vaut dans sa relation à autre chose .

Sentiment de l’opinion de chacun , de l’idée qu’on s’en fait .

Notre époque est touché par un relativisme impénitent.

La vérité dépendrais du sentiment de chacun au fond de l’opinion .

On ne peut pas opposer vérité et opinion .

On peut accorder a l’opinion la valeur d’une connaissance de la vérité .

Ce relativisme est aussi bien sous-jacent à l’idée que les sophiste ce faisait de l’usage de la parole et de la discussion .

Il est sous-jacent au rapport au langage et à la vérité que véhiculais leur enseignement  .

L’enseignement par les Sophiste de la rhétorique comme art de combat les conduisait eux et leur élèves a mesurer la valeur du discours a son efficacité persuasive . Il en venait par la même à considérer la vérité elle même comme la vérité du langage .

Avoir raison c’est parvenir a persuader la foule , réussir à ce faire acclamer.

La vérité comme effet du langage .

Persuader = faire croire : quelque chose est vrai dans la mesure où il est cru vrai .

Il à même été théorisé par Protagoras d’Aldère → 490 – 420 av-Jc .

Dans un ouvrage qui ce serait intitulé sur la vérité ( ouvrage perdu ) mais reste évoqué et cité dans plusieurs source antique . Cette formule : « Que l’homme est mesure de toute chose , de celles qui sont comme celle qui ne sont pas. »

Dialogue : Théétète→  Platon évoque cette thèse de Protagoras et l’explicita par la voix de Socrate

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