"Oublier la psychanalyse" écrit par Derrida

Edouard GEERAERT

Dans ce extrait de ce texte qui est « Oublier la psychanalyse » qui à était écrit par Derrida, nous avons la décomposition de la définition du psychanalyse, il démontre le concept de la théorie de l’inconscient faite par Freud tout au long de ce texte, l’inconscient et un concept incontournable de la psychanalyse . Dans cette extrait le but est de comprendre comment  Freud introduit son concept de l’inconscient comparé à celui définit auparavant. Afin de répondre à ceci, nous verrons la psychanalyse et la philosophie précédente puis la restauration philosophique .

Derrida ouvre directement son texte sur le passé avec « ce qui s'est passé » I1, ce qui nous permet 

d'affirmer que les évènements antérieurs vont avoir une place importante dans cette œuvre, il nous 

permet également d'orienter nos esprits. Derrida critique l’etat des philosophes dans le quel ils ont été plongés . Dans la seconde phrase, nous avons un changement de temporalité avec « aujourd’hui » qui est à la 3eme ligne ce qui est en opposition avec le début du texte. Nous avons l’introduction du therme de psychanalyse à la ligne 5 qui est un coter de nous que nous ne connaissons pas ou alors dont on en à pas conscience. Cela permet la connaissance de nous même que la conscience seule ne peut pas nous apporter. Il défini les thermes pour définir ce qu’il considère comme faisant parti de la psychanalyse (« la logique de l’inconscient »,  « concept inconscient ») il fait référence à l’inconscient du point de vue de Freud .

Selon Dérida de nos jours toutes ces choses ne sont pas prises en compte ou ignoré. A présent la psychanalyse n’est plus considérée même dans la raison (l17) Il appui ses propos avec le discours des lumières (l7) ce qui nous renvois directement à Kant et Descartes pour lesquels le mot clé était la « raison »,  « oses penser par toi-même ». A  la ligne 7 Derrida compare l’air actuel à celle des lumière avec « comme si ». A la ligne  8 « revenir à Kant » est une connotation péjoratif et une critique car pour kant on peut se connaitre grâce à la conscience. Par la suite l’auteur à la  Ligne 8, l'auteur indique les devoirs de celui qu'il qualifie de « sujet », étant donné que pour Kant, le devoir appartient à celui qui a une raison. d'appuyer l'idée de retour à la philosophie des Lumières abordée auparavant. Ensuite il fait une extension à la définition de Descartes avec le « moi »; « cogito » mais surtout le « Je pense » puisque pour Descartes le « Je » définissait la conscience, qu'il définit même à la I10 avec « sans peine et sans paradoxe », il n'y en fait aucune difficulté à la définir.

Dérida argumente ses idées notamment grace aux définition.

En outre, il décrit la restauration philosophique comme un zeitgeist, avec Répétez "Ordre du jour" I11. La suite de cette étape est marquée par le mot "espèce", Dénigrant et calomnieux, ce qui est cohérent avec l'expression "restauration honteuse et bâclée" I12, il signifie Enlevant ainsi une partie de la conscience et agissant comme si de rien n'était. Autrement dit, il Affirmer que l'inconscient a été retiré de la conscience. "Exigences dites rationnelles" I13 signifie En revanche, selon Derrida, ce n'est pas une exigence de la raison Ce sont eux qui imposent ce renouveau philosophique. La présentation dite « sans pli » I13 est, Dans le cas de la psychanalyse, soyez le plus direct et le plus simple possible. Partition I14 "Renaissance" Retour en arrière sur la légitimité de ce discours. L'auteur le fait en soulignant Maintenant, reprenez la récupération. Cela signifie, bien sûr, lors de la restauration Philosophiquement, les idées des Lumières dominent à nouveau, mais les choses restent Bouleversée, c'est le retour de la philosophie, y compris l'inconscient tel qu'ici marqué. Sur I14 il informe Les gens veulent connaître la raison de la raison, et veulent aussi connaître l'histoire de son principe est Parfois considéré comme obscur ou irrationnel parce qu'ils ne le tiennent pas pour acquis telle qu'elle leur est présentée. Ces personnes voient plus loin et sont donc proches de la psychanalyse, Rappelons-le, cela révèle des aspects que nous ne connaissons pas. C'est ainsi que nous pouvons dire que les solutions philosophiques impliquent finalement une régression Vers l'inconscient freudien, et donc vers l'éternité de notre psychanalyse. Bien que la notion La conscience, indispensable en psychanalyse, varie selon l'esprit du temps. Nous pouvons maintenant résumer et répondre à notre question initiale sur la façon dont L'inconscient de Freud modifie le concept de conscience précédemment défini. Pour résumer; nous avons D'abord, dans l'ordre des extraits, la philosophie des Lumières est abordée avec ses concepts. Il peut nous apporter toutes les connaissances sur nous-mêmes. Ceci est suivi par des recherches et Selon Freud, la référence de l'inconscient, le conscient est partiellement occupé par l'inconscient. plus important Cette vision freudienne permet de comprendre que la psychanalyse y est favorable. Dans le deuxième mouvement, nous avons une récupération philosophique ; l'air du temps que possède la philosophie Face au renouveau d'"un vieux discours des Lumières". L'inconscient de Freud modifie le concept de conscience précédemment défini en s'ajoutant à la conscience, à savoir : C'est-à-dire pour tous ceux qui pensent que seule la conscience permet d'avoir Nos connaissances contredisent ce concept. Cette contradiction conduit à la récupération La philosophie elle-même a conduit au bouleversement de la psychanalyse dont nous parle Derrida. Alors pourquoi couvrons-nous nos visages à l'heure actuelle ? Qu'est-ce que cela signifie psychanalyse? N'est-il vraiment plus considéré dans un souci de rationalité et de retour au discours ? Philosophie des Lumières ? Pour comprendre et comprendre les conséquences de cette omission, pour ainsi dire, nous devons étudier Et définir la réduction philosophique qui existe dans le reste du texte. La restauration de la philosophie consiste à restaurer le concept de philosophie. De i9, Derrida En parlant d'« autorité », il se réfère à la suprématie de la conscience, et il utilise le mot pour l'affirmer dans l'intérêt d'appuyer l'idée de retour à la philosophie des Lumières abordée auparavant. Ensuite il fait une extension à la définition de Descartes avec le « moi »; « cogito » mais surtout le « Je pense » puisque pour Descartes le « Je » définissait la conscience, qu'il définit même à la I10 avec « sans peine et sans paradoxe », il n'y en fait aucune difficulté à la définir. C'est principalement par la définition que Derrida argumente ses idées ici. Il qualifie d'ailleurs la restauration philosophique comme l'air du temps, il appuie cela avec une répétition de « l'ordre du jour » I11. La suite de la phase est marquée par le mot « espèce » qui est plutôt péjoratif et dénigrant, ce qui concorde avec les termes « restauration honteuse et bâclée » I12, il entend par là que l'on enlève une partie à la conscience et on fait comme si de rien n'était. En d'autres mots, il affirme que l'on enlève l'inconscient à la conscience. « Les exigences dites de la raison » I13 signifie que 

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