Le travail et la technique
Cours : Le travail et la technique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar adrien favrot • 6 Mai 2017 • Cours • 2 707 Mots (11 Pages) • 692 Vues
Le travail et la technique
Activité complexe avec une finalité de production
Activité vitale, qui comporte aussi une dimension social car on travail aussi pour la reconnaissance voir un accomplissement de soi, moral intellectuel ou autre.
Relation à la liberté →accomplissement de soi
- Loisir
- Valeur
- moralité
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Les hommes non contraints travail très peu c’est-à-dire qu’au cœur du travail il a une dimension de contrainte, nous ne travaillons pas volontairement par origine, les choses que nous faisons volontaires sont des choses qui pour nous sont des fin en soi
Le travail lui ne se présente pas à nous spontanément avec ce visage-là, et travailler demande des efforts, s’obliger soi-même, dimension de nécessité
Le mot travail vient de tripalium qui signifie un instrument de torture (c’était en réalité 3 pieux qui servait à suspendre les esclaves qui ne travaillaient pas assez vite) cela montre assez bien la violence de la mise au travail de l’homme.
Si la dimension de contrainte était allégé travaillerai-t-on autant ? Certainement non
Voir le film attention danger travail
- Le travail n’est-il qu’une lutte avec la nature ?
On peut le lier avec la nature car il y a question de nécessité pour subvenir à nos besoins
Dès que le travail devient complexe et bien il commence de revêtir les allures d’un combat contre la nature les grecs voyaient d’ailleurs dans l’agriculture une sorte de violence faite à la terre
L’homme travail en vue d’une finalité qui est relativement lointaine, on travaille en vue de la récolte, on construit en vue de la prospérité
Texte pas 155
il ya un default de la nature pour ainsi dire , il faut compenser cet insuffisance, la nature n’était pas suffisante, elle nécessitait une compensation et par ailleurs cet compensation a quelque chose de divins puisqu’elle vient des dieux.il y a quelque chose de boiteux car le travail est quelque chose à cheval sur la nature, on a un pied dans la nature avec le travail et on a d’un autre coter se forcer à la nature pour travailler.
Page 157-158 DESCARTES
« se rendre comme maitres et possesseurs de la nature » comme=comparaison, parvenir à une meilleur maitrise de l’esprit en soignant le corps. Sa proposition va être retenue par la postérité par une sorte de programme à accomplir. Progressivement la conception du travail en Europe va se modifier, pour un projet de maitrise du travail lui-même qui va aboutir à la rationalisation du travail aux idées de la raison.
Le travail est ce qui nous assure nos possessions, s’établir sur le fondement (ce sur quoi on se fonde)
Le fait de prendre quelque chose peut suffire a me l’approprier (ex :ramasser des champignons, ou même la colonisation qui s’approprie les terres, loke nous dit que ces territoires appartiennent à celui qui les cultive, c’est le travail que j’effectue qui le rend légitime à me déclarer propriétaire a l’objet de mon travail.
En travaillant nous faisons quitter le statut naturel de l’objet.
Le travail fonctionne comme un lien vis-à-vis de ce qu’il investit (on peut bien sur contester l’idée)
Conséquence : quand on parle de propriété c’est une notion culturelle et non naturelle
La propriété n’existe qu’a partir du moment où il y a une idée d’appartenance
Et non pas comme chez les animaux ou l’appartenance peut être liée a la loi du plus fort.
- Origine est le contraire du fondement
c) Les aboutissants d’un divorce =la création d’un deuxième monde
l’homme fabrique un deuxième monde par le travail, le travail est devenu aujourd’hui hui quelque chose beaucoup plus complexe, toujours plus étroitement liée a la technique que ce qu’il était autrefois, la part de nature qui intervient dans notre travail , dans tout la masse de nos activité laborieuse , la part qui nous met en contact avec la nature est devenu extrêmement restreinte. A force de transformer la nature l’homme a fabriqué un deuxième monde, un monde dont certain penseur a proposer que ce monde était humain par opposition au monde naturel.
Marx manuscrit de 1844
Contrairement à un animal qui ne considère que ses propres buts quand il accomplit une action (un nid..) en ce qui concerne l’homme il y a toujours une dimension éternel dans le travail car c’est quelque chose qui est spécifique à la nature de l’homme qui s’exprime dans le travail, la liberté, la faculté de créer des projets.
C’est par le regard d’autrui que je vais pouvoir me connaitre vraiment (par mes réactions …)
« Ce qui met l’animal au travail est le besoin physique immédiat alors que l’homme s met librement au travail, mais malgré tout il y a un dimension de liberté derrière (ex : Einstein qui faisait des heures de travail supplémentaire pour trouver l’équation de la relativité) »
L’objet du travail est donc la réalisation de la vie générique de l’homme.
Le deuxième monde (celui créer par l’humain) serait-il en phase de nous faire perdre le premier ?
L’homme veut être maitre de la nature, la nature apparait à l’homme comme son œuvre dans « sa » réalité. L’homme crée même de la matière (nouvelle) ou même la réalité virtuelle …
L’homme ne serait s’affranchir de ce premier mon, de cette réalité qui saurait nous rattraper rapidement.
2 le travail constitue-t-il une libération ou une aliénation ?
La nature=nécessité et donc pas libre
Même si nous aimons notre travail, le fait que nous travaillons est une réalité qui s’impose et nous ne pourrions pas le changer.
Obligation = dimension morale
Je suis fauché et je rencontre un mendiant, il m’en coute de lui en donner mais bien que ce ne soit pas évident pour moi je lui donne car je me sens obligé.
Mais si quelqu’un vient me menacer avec un couteau là il y a une notion de contrainte.
On a donc deux approches différentes du travail « la chance d’une liberté ou la contrainte et l’obligation »
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