La vie se base-t-elle des relations et les sens de la science ?
Commentaire d'oeuvre : La vie se base-t-elle des relations et les sens de la science ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ihsdhfudh • 12 Octobre 2022 • Commentaire d'oeuvre • 526 Mots (3 Pages) • 382 Vues
EXPLICATION DE TEXTE
Ce texte est un extrait du livre V de Nietzsche, philosophe allemand, « Le gai savoir » publié en 1882. Le texte est centré sur la science. Il correspond, répond à la question ci-après : La vie se base-t-elle des relations et les sens de la science ? Ce texte remet en cause la science au profit des valeurs et relations humaines. Nietzsche soutient les caractéristiques et les valeurs humaines qui amène à un monde de vérité. Ce texte aborde 3 parties variés : De la 1 à 5, Nietzsche aborde la croyance, puis dans une seconde partie de la ligne 6 à 20 son illusion et son interprétation de la science et enfin il évoque la vison de son monde parfait.
Au début du texte nous trouvons la « croyance » qui désigne croire, attacher une valeur de vérité. La valeur désigne ce qui peut avoir un caractère ou un sens précieux et digne d’existe par un jugement. Pour Nietzsche les savants matérialistes s’arrêtent à la croyance, un système qui prétend non seulement que tout est composé de matière, mais que fondamentalement tous les phénomènes résultent de l'interaction de la matière. Pour Nietzsche les savants matérialistes le monde est tel que l’ensemble qui contient peut être vu et expliqué à travers les caractéristiques humaines, donc à travers la science. Nietzsche essaye d’expliquer le fait que la science puisse prouver n'importe quoi en d'autres termes, les scientifiques croient que tout peut être expliqué par la science. Cette de manière de penser réduirait la raison humaine, la façon de penser des savants déprécient les valeurs du monde réel, ce qui signifie que la même façon de penser développe de nombreuses significations dans le monde dans lequel nous vivons.
Dans cette seconde partie, Nietzsche critique la vie que mène que les scientifiques et plus précisément les mathématiciens avec leurs vies insignifiantes, casanières, il les néglige vraiment. Il compare la vie parfaite à une vie subliminale, dynamique et excitante contraire à celle des mathématiciens
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