La raison et le réel Le vivant
Dissertation : La raison et le réel Le vivant. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mauwmauw • 6 Avril 2019 • Dissertation • 2 046 Mots (9 Pages) • 526 Vues
Chapitre 2: Le vivant
Introduction générale:
Les phénomènes vivants présentes des spécificités qui ne se réduisent pas aux phénomène physique.
En effet, le vivant commande des phénomène physiques qu’il ne produit pas inversement les éléments physico-chimiques produisent des phénomènes vivant qu’ils ne dirigent pas.
Alors que les être vivants eux semblent partir dans une direction
Introduction:
La connaissance du vivant à connue à partir du 19 ème siècle un développement religieux.
Quel est l’objet de la biologie ? 🧬
Pour les biologistes elle n’a pas pour but d’exploiter la vie mais les vivants tels qu’il se donne à l’observation minutieuse directe ou indirecte en vu de rendre compte des liaisons invariantes entre tous les phénomènes vitaux dans l’espace et dans le temps.
Qu’est ce qu’un vivant ?
Un vivant est un individu càd étymologiquement un indivisible circonscrit dans l’espace et dans le temps et d’ôter d’une unité intérieure ainsi que d’un autonomie relative.
Unité intérieur : unité organique càd une union de tous les organes entre eux et avec le tous que forme l’individu.
L’autonomie est relative car la vie cellulaire implique des échanges avec le monde extérieur, une perméabilité permettant l’absorption de substances et l’élimination d’autres substances.
Enfin un individu est aussi une réalité unique et singulière. En effet, chaque être vivant représente une formule unique d’organisation notamment génétique. Voilà pourquoi aucun individu ne ressemble à un autre et chaque individu tant à maintenir cette formule. Cette tendance à tendance à persévérer dans son être. Ce phénomène constant des être vivants s’exprime notamment par nos nécessité nutritionnistes ou la cicatrisation des blessures superficielles.
Comment expliquer ses propriétés qui appartiennent à un individu ?
Toutes réponses renvoie à deux conceptions fondamentale apparement contradictoires qui divise encore les biologistes :
1. vitalisme : elle conçoit la vie comme une réalité spécifique différente de la matière et inexplicable sans le recours à une finalité .
2. Le mécanisme : qui cherche à expliquer le phénomènes vitaux/vivant à partir des ses éléments physiquo-chimie .
I- Le problème de la connaissance du vivant.
A) La biologie est elle une science ?
Le premier problème de la biologie est un problème d’épistémologies . En effet le vivant est il objet de science ?
C’est une science très jeune . La biologie c’est constitué comme science très tardivement car elle a dû se plier au conditions de la connaissance scientifique c’est à dire considérer que le monde du vivant est connaissable selon les règles expérimentales et que donc le vivant est régis par des lois identiques à celle qui gouverne l’ensemble de la nature c’est à dire le déterminisme universelle. Or cela ne vas pas de soit , un être vivant peu pas être étudié comme un autre corps de la nature , il a une originalité , c’est un être à part . Il a un organisme c’est donc un individu. Cet organisme lui même est unique les être vivent organisés sont les seuls être à ce reproduire ,ils sont les seuls à dépendre d’un échange avec le milieu extérieur enfin seuls les êtres vivants meurt . Il semble même qu’il obéisse à une sorte de finalité interne ( les membres : faits pour se déplacer dans un milieu ..) . Rien de tel est observable pour les objets matériels non vivant , ils n’échangent pas avec le milieu extérieur, ils ne se reproduisent pas ,ils ne connaissent pas la mort , il n’y a pas de finalité,il n’y a qu’un jeu de force mécanique par conséquent les physiciens n’expliquent plus les corps la matière à la façon d’Aristote comme étant le résultat d’une tendance, alors que le biologiste moderne ce doit de rendre compte de la façon des être vivant tendent à se reproduire (...) de finalité «comme si cela résulté d’un projet » . en ce sens le vivant pose problème à la connaissance scientifique en effet , la rationalité scientifique moderne née au 17ème siècle avec Descartes en rejetant le finalisme ainsi que l’anthropomorphisme (attribuer une forme humaine à ceux qui ne le sont pas) or cette finalité semble encore présente dans les être vivant, Le vivant serait il alors le dernier refuge d’une représentation finaliste pré scientifique , anti scientifique ou non scientifique du monde ?
B) Le problème de l’évolution.
Illustre d’une façon exemplaire cet apparente irréductibilité du vivant au propriétés physiquo-chimique . Elle a était élaborée par Charles Darwin (biologiste) il l’a exposé dans son ouvrage « de l’origines des espèces par vois de sélection naturel » 1859 . Sa théorie de l’évolution affirme l’existence d’un monde animal et végétal dirigé par la sélection naturel il tient se principe d’un démographe ( celui qui étudie les populations) anglais un certain Malthus qui avait constaté que les populations augmentent de façon exponentielle alors que la nourriture à une croissance arithmétique conséquences : pas assez de nourriture pour toute la population -> individu se battent pour la nourriture (plus fort: survivre et plus faible : disparaît)
C’est se principe que Darwin va appliquer à tout les êtres vivants . Donc les survivants s’adaptent plus facilement à leurs environnements, des variations individuelles apparaissent dans la reproduction pour s’adapter au milieu jusqu’à formation d’autre individu.ainsi tous les êtres vivants sont des résultats de longues séries de transformations de plus en plus adapté au milieu, cela a partir des formes élémentaires jusqu’au espèces les plus complexe (mammifères à sang: l’homme) .
Donc l’évolution semble obéir à un projet et cette théorie réactualise la vieille question d’une finalité qui gouverne le monde vivant. Certes Darwin dans sa théorie de l’évolution se dispense de recourir à une hypothèse..?
Il pense plutôt que le seul moteur est une variation toujours aléatoire permettant une variation
...