La culture et la barbarie
Dissertation : La culture et la barbarie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Manon Lecoutey • 30 Avril 2018 • Dissertation • 989 Mots (4 Pages) • 656 Vues
La culture et la barbarie
Chaque homme a sa culture, cela crée une différence/une disparité entre chaque homme, ce qu’ils montent les uns contre les autres mais les unis en même point. La culture est le mode de vie de la société, des connaissances littéraires, artistiques, scientifiques, que l’homme de par son travail, a ajouté à la nature, règle de politesse, forme d’art de vivre. Chez les grecs la barbarie était le non civilisé soit celui qui ne parle pas le grec est inférieur ou constitue un acte cruel, inhumain, qui va à l’encontre des valeurs et principes moraux. La culture de chaque civilisation représente alors la disparité avec les différences de religion, ces groupes ce qui divisent les humains ou plutôt les groupes entre eux. La division des peuples peut créer des conflits et donc de la violence ou même de la cruauté, cependant la culture peut aussi créer des liens et donc empêcher la barbarie. La barbarie est l’état d’un peuple considéré comme non civilisé, opposition à la civilisation donc à l’état. La culture est-elle un rempart à la barbarie ? La culture oppose-t-elle les hommes ou les réunis-t-elle ?
La barbarie nous fait sortir de la violence naturelle et animale. Par son évolution, par les moyens mis en place pour s’humaniser, l’homme s’éloigne de la personne violente qui est cachée dans le plus profond de lui même, il met de côté cette « bête » volontairement ou non, ainsi la culture apparaît comme une processus d’humanisation. Comme Rousseau qui qualifiait l’homme à l’état de nature pour en faire un homme humanisé.
La culture nous empêche d’être mauvais. Chez Rousseau, l’homme est certainement sauvage, même grossier mais on ne peut le caractériser de barbare au sens de mesquin et féroce. Mais l’on peut penser que Rousseau a tort, en étudiant par exemple Hobbes. Selon Hobbes l’état de nature est un conflit permanent et insoluble de chacun contre chacun, c’est à dire de soi contre soi, ou plus généralement d’un être face à lui-même. La volonté d’autorité sur autrui et de se faire respecter passe par des actes visant à impressionner, inspirer un modèle. La culture s’opposant à la nature, elle est l’état de société qui nous permet de nous en détacher, alors pour Hobbes la culture est ce qui fait nous échapper de la barbarie car si, « l’Homme est un loup pour l’Homme », alors à l’état de société qui se base sur la culture, l’Homme est un sage pour l’Homme.
Au XVIIème siècle, le peuple et les philosophes commencèrent à croire à l’humanisme, on pensait à l’esprit cultivé, c’est-à-dire avec un esprit d’intérêt, un esprit de curiosité était un rempart contre les passions déraisonnées, comme Voltaire et son texte sur la tolérance de soi. Le but étant de lutter pour la rationalité contre le principe universel de la superstition. Le développement de la société et son mode de vie,relève d’un essor du développement des sciences et des cultures qui a dissiper le développement des violences et de la barbarie humaine. Cependant, malgré les avancées technologiques et de travail, nous avons réussi a crée plusieurs guerres qui se basaient sur des conflits géopolitiques et culturels. Ainsi la culture sert seulement de rempart à la barbarie, cela implique que nous n’ignorons
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