Introduction dissert philo le sentiment de la liberté est-il illusoire ?

La liberté comme libre-arbitre se définit tel un pouvoir de choisir donc d’accepter ou de refuser, c’est être maître de ses propres choix sans être conditionné par un déterminisme. Autrement dit, il s’agit d’une volonté indéterminé de choisir entre les contraintes, donc de s’autodéterminer. A partir de cette définition, nous pouvons introduire la notion de sentiment. Se sentir libre est une impression personnelle et subjective de la façon dont nous nous apercevons à nous même libre dans notre conscience. En d’autres termes, nous avons intuitivement, immédiatement et de façon non réfléchie conscience d’un pouvoir de choisir appartenant à notre volonté que nous ressentirions lorsqu’il s’agirait d’agir. Il n’y a eu donc aucun raisonnement rationnel, logique et structuré qui a amené à une réflexion et cet aspect immédiat rend compte du fait qu’il n’y a pas eu assez de réflexion donc que l’ensemble a été fondé sur le faux, l’illusion. L’illusion est une perception parmi tant d’autres. Notre corps perçoit différentes sensations et la conscience va choisir qu’une seule interprétation de toutes les perceptions reçues. Un sentiment est illusoire dans la mesure où le choix de l’interprétation de l’événement peut être faux. En effet, rien ne garantit que le choix de l’interprétation est vraie. De ce fait, l’illusion consiste à considérer comme vrai, réel quelque chose qui nous apparaît de manière subjective à notre conscience, c’est une interprétation contraire à la réalité. Ainsi, faut-il faire confiance à ce sentiment de libre-arbitre qui apparaît à notre conscience ? Dans un premier temps, nous verrons que le sentiment de la liberté peut apparaître comme illusoire par ignorance des déterminismes qui nous constitueraient. Dans un second temps, pour pouvoir soutenir ma thèse initiale qui est que le sentiment de libre-arbitre n'est qu'illusoire il faut présupposer que l'homme dispose d'une liberté minimale à savoir sa raison par laquelle il comprend justement qu'il est déterminé. Finalement, nous montrerons qu’une certaine conscience de la liberté est réhabilitée. La liberté comme libre-arbitre se définit tel un pouvoir de choisir donc d’accepter ou de refuser, c’est être maître de ses propres choix sans être conditionné par un déterminisme. Autrement dit, il s’agit d’une volonté indéterminé de choisir entre les contraintes, donc de s’autodéterminer. A partir de cette définition, nous pouvons introduire la notion de sentiment. Se sentir libre est une impression personnelle et subjective de la façon dont nous nous apercevons à nous même libre dans notre conscience. La liberté comme libre-arbitre se définit tel un pouvoir de choisir donc d’accepter ou de refuser, c’est être maître de ses propres choix sans être conditionné par un déterminisme. Autrement dit, il s’agit d’une volonté indéterminé de choisir entre les contraintes, donc de s’autodéterminer. A partir de cette définition, nous pouvons introduire la notion de sentiment. Se sentir libre est une impression personnelle et subjective de la façon dont nous nous apercevons à nous même libre dans notre conscience.

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