Hannah Arendt

Nous allons donc voir dans la deuxième partie du texte, ARENDT nous montre que ce caractère idéal pour les travailleurs présente d’importantes limites. En effet, en vidant «  les usines et libérer l’humanité à la nécessité » nous emmène au pire. Plusieurs problèmes peuvent se poser sur cette libération du travail de société. Le travail a été toujours présenté comme une nécessité, même comme une activité nécessaire voire vitale, qui permet l’homme de mieux vivre dans son milieu. Dans cette partie de texte, la philosophe ARENDT nous montre un problème social: « Que se passerait-il si l’homme entant que travailleur qui ne possède que la capacité de travailler, n’avait plus la nécessaire de le faire? » Pour cela, elle introduit le terme de « société de travailleur » c’est-à-dire une société qui a transformé les hommes comme des outils, des simples instruments.Dans la première partie du texte, ARENDT nous montre le coté positif de l’automatisation. Elle caractérise l’automatisation comme un « avènement » et l’associe au terme de « libération », ce qui renvoie directe à la Bible et à l’avènement du Christ. Cela pourrait dire que l’automatisation serait le garant du sauvetage de l’homme et de sa libération. Ce qui explique que la technique a fait son apparition en facilitant e travail de l’homme, libère l’homme de « son fardeau » c’est ce qu’elle fait ARENDT un écho d’un idéal pour l’homme. En facilitant le travail, en minimisant leur force du travail, l’homme en tire des bénéfices en laissant ce charge aux machines qui leur remplacent. L’auteur considère le travail comme un asservissement de l’homme c’est-à-dire ce qui prive homme de la liberté, ce qui les emprisonne. Donc l’automatisation est vue comme un idéal pour l’homme de ne plus être asservis au travail, l’obligation de travailler pour se nourrir et de laisser ce charge pénible aux machines. Elle « videra les usines et lib »ra l’humanité de son fardeau » il y aura donc plus d’ouvrier dans les usines, les travailleurs laissent leur travail aux machines qui le font automatiquement sans dépense de force et ceci peut avoir un effet peut être plus efficaces que lors que les hommes qui le fassent. L’homme est donc bien libéré de son «  fardeau le plus ancien » et ils peuvent enfin de faire d’autres activités de mieux s’amuser, de s’adonner à ses loisirs. Et l’automatisation est donc un bon moyen pour l’homme de mieux s’étendre du travail. Ils étaient chargé, obligé de travailler, de se forcer pour satisfaire aux leurs besoins nécessaires comme l’alimentation qui les épuise de jours en jours en enfin grâce à le remplacement de travail par les machines, les hommes peuvent consacrer le temps libre pour satisfaire à lui même au lieu de satisfaire aux leurs besoins. Mais ils doivent accepter aux conséquences de la réduction de salaire qui conduira un niveau de vie en baisse. Le temps libre qu’ils ont obtenus peuvent être conséquent d’une baisse de niveau de vie et la baisse de la satisfaction aux besoins. On peut penser à la théorie de MARX qui nous explique que si l’ouvrier voit ses heures de travail diminuer grâce à l’automatisation, son temps libre ba permettre à une meilleure réalisation de lui même en diminuant la ruine de l’esprit et du corps. Le travailleur va alors retrouver son active propre

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