Discours sur la pollution en HLP
Discours : Discours sur la pollution en HLP. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Méryl Biz • 10 Avril 2021 • Discours • 1 616 Mots (7 Pages) • 2 844 Vues
BIZET Méryl Discours contre la pollution : (démonstratif)
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Chers camarades, je viens par ce discours vous faire réagir sur un sujet qui nous a touchés, qui nous touche et qui nous touchera directement ou indirectement dans nos vies. L’idée de cette prise de parole est de vous encourager et de vous inviter à penser et réagir pour un monde où vont vivre les générations futures. La pollution menace notre environnement. Chaque jour, notre air se dégrade de plus en plus. La pollution, qu’est-ce que c’est ? La pollution est la destruction ou dégradation d'un écosystème ou de la biosphère par l'introduction, généralement humaine, d'entités ou de radiations altérant le fonctionnement de cet écosystème.
Pour éviter la pollution dans notre environnement, les humains doivent moins utilisés les transports qui usent du pétrole, comme la voiture, et commencer à utiliser d’avantage le vélo ou d’autres moyens de transport qui n’utilisent pas le pétrole, plus simples, plus sportifs, et qui préservent le monde. Chers amis, la pollution est produite à cause des humains, et dépend de nous.
Construire un monde meilleur, pas seulement pour nous, pour les générations, personnes et familles de demain.
Etes-vous sur de vouloir continuer à produire de la pollution ? Etes-vous certains de vouloir tuer la planète ? Je ne le pense pas, sincèrement, et il n’est pas trop tard pour réagir. En effet, il existe des méthodes très connues dans le monde entier, et qui aide beaucoup, comme le recyclage. On ne jette pas seulement les déchets à la poubelle, mais on les classes selon leurs matériaux pour les réutiliser. Recycler si vous voulez un monde meilleur ! C’est avec les petites choses du quotidien qu’on arrive à faire de grandes choses.
En effet, stopper la surproduction ainsi que la surconsommation c’est chercher des alternatives pour consommer autant sans nous tuer, c'est bien, mais fondamentalement, il serait mieux de ne plus être la source de notre extinction ! Actuellement nous sommes dans une culture où il faut consommer pour « exister » car c'est surtout notre système économique qui oblige cela par le biais de la croissance et de la concurrence, "obligatoire" pour qu'un pays survive. Mais, cette surconsommation nous provoque des problèmes de santé (cancer, stress, dépression). En surproduisant, nous créerons des produits qui ne seront jamais utilisés, ils seront juste une source de gaspillage et de pollution, car en effet, cela pollue de transporter des marchandises, ainsi que la déforestation accentue la disparition de la couche d’ozone. Il est donc nécessaire de réformer tout ça. Comment ? Eh bien en consommant des produits locaux, qui ne nécessitent pas des transports polluants, en privilégiant le modèle "grande culture, élevage bovin" etc… qui permet d'éviter les rejets possibles de protoxyde d'azote qui est un gaz beaucoup plus fort que le CO2. Si nous produisions beaucoup moins, les pollutions qui découleraient de ces transports seraient bien moindres. De même, si nous apprenions à nous restreindre de cerises en décembre, il n'y aurait plus besoin d'en faire venir des tonnes d’autres pays pour nous contenter. A l’image du mouvement des « décroissants », ces personne voulant mettre fin à une surconsommation des richesses de la Terre, en revenant à un mode de vie beaucoup plus raisonnable et raisonné.
Pour vivre un être vivant a besoin de respirer. Or, la qualité de l’air que nous respirons aujourd’hui dans les villes ne cesse de se polluer.
Effectivement, notre air s’appauvrit en oxygène, ceci peut engendrer des maladies pulmonaires ainsi que des troubles cardiaques. Vous vous demanderez sans doute pourquoi cet appauvrissement d’oxygène. Et bien tout simplement car tous nos moteurs brûlent des quantités énormes d’oxygène, ceux de nos automobiles, de nos avions. Développer des moteurs propres est une solution. Quitte à devoir changer d'énergie, autant changé de moteurs, les moteurs hybrides étaient déjà une bonne avancée, il faudrait songer à trouver des méthodes pour s'affranchir du pétrole et de tout ce qui tourne autour.
Il est vrai que la France fait des efforts en mettant en place des mesures antipollution comme la prime au rétrofit électrique, cette aide est mise en place lorsque le propriétaire d’un véhicule fait transformer le moteur thermique en moteur électrique. Non seulement il existe des bonus écologique ainsi que d’autres dispositifs comme les malus automobile ou encore les vignette Crit’Air, qui sont obligatoire pour circuler lors d'un pic de pollution, en cas de circulation différenciée. Cependant il est clair qu’avec tous nos efforts, nous restons tout de même un petit pays et si nous voulons réellement des résultats il faudrait faire ces actions à l’échelle planétaire. Par ailleurs, les moteurs de nos industries consommeraient dans le monde 200x plus d’oxygène que la totalité des êtres vivants sur la planète, ce qui est énorme.
Le monde végétal est le seul facteur d’équilibre d’air car les plantes se nourrissent de gaz carbonique et nous donnent de l’oxygène.
Malheureusement, la pollution ne touche pas uniquement nos terres. En effet, aujourd’hui l’abondance de plastique engendre des amas de déchets. Chaque seconde, 100 tonnes de déchets finissent en mer, dont une grande partie est constituée de matières plastiques. Mais les activités industrielles polluent aussi les cours d'eau en déversant leurs déchets comme des matières organiques, azotées ou encore des pesticides. La mer est une véritable décharge à ciel ouvert, toutes sortes d’objets flottants ou microparticules, se déposent sur les plages, se dispersent en mer, et se retrouvent sur les fonds marins. Ainsi, cette pollution marine a eu une conséquence inattendue : la création d'un 7e continent. Au nord-est de l'océan Pacifique, se trouve un point de rencontre de nombreux courants océaniques. C'est ici qu'a été découvert en 1997 ce fameux 7e continent, ou "continent plastique", composé de déchets produits par l'activité humaine. Il grossit de jour en jour et représente aujourd'hui six fois la France. Il a de grave conséquence sur l’environnement de certains animaux marins. Les tortues marines et les oiseaux de mer qui ingèrent les débris marins se blessent et finissent par succomber à leurs blessures, ce qui provoque l’extinction d’une espèce. Une partie importante de la pollution de la planète serait due à l'activité humaine. Mais saviez-vous que ce type de pollution se nommait pollution anthropique? L'expression pollution anthropique désigne l'activité humaine comme principale coupable des émissions de gaz à effet de serre, qui sont elles-mêmes responsables du réchauffement climatique. La concentration du CO2 dans l'atmosphère n'a cessé d'augmenter ces dernières décennies. D'ailleurs, la majorité des gaz à effet de serre a été émise par l'homme dans les années soixante. De plus, la pollution anthropique ne concerne pas uniquement l'air. Elle caractérise aussi l'impact de l'occupation humaine sur l'eau et le sol. La pollution anthropique a des conséquences sur la biodiversité, mais aussi un impact social et économique. En ce qui concerne les enjeux et impacts environnementaux, on remarque au cours des dernières études scientifiques une variation du contenu thermique des océans, c'est-à-dire que la température de l'eau est en constante augmentation. Ceci induit une élévation du niveau de la mer. On voit surgir aussi une modification des précipitations avec des changements climatiques extrêmes. Cela se traduit par l'apparition de périodes de sécheresse, des inondations, des tempêtes, des ouragans, des tsunamis, etc. Ces bouleversements climatiques impactent une fois de plus le règne animalier puisque certaines espèces disparaissent, comme le dauphin en Chine.
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