Pollution automobile
Étude de cas : Pollution automobile. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar stryker97 • 4 Avril 2012 • Étude de cas • 291 Mots (2 Pages) • 1 472 Vues
Pollution automobile
Depuis 1995, le nombre de véhicules et le nombre total de kilomètres parcourus a augmenté mais on peut constater une importante diminution de la pollution automobile jusqu'à aujourd'hui.
Pourquoi? Tout simplement parce que des normes antipollution, qui sont de plus en plus strictes, ont été appliquées. De surcroît, les moteurs deviennent de moins en moins polluants.
Effet de serre
Nom du tableau : Pollution atmosphérique et réchauffement de notre planète
Tout d’abord définissons l’effet de serre.
A cause de cet effet de serre, on peut constater depuis quelques siècles une forte hausse (par rapport au graphique) qui n’est quand même que d’un degré. On peut constater que plus la température augmente plus la concentration de Co2 augmente.
On peut constater que la masse glaciale du pôle nord a diminué entre 1980 et 2003. Cela est bien sûr dû au réchauffement climatique.
Les études indiquent que les anomalies de température, dont l’accroissement est prédit dans la plupart des océans tropicaux, accentuent la sévérité du déclenchement de maladies affectant le corail et conduisant à la perte de l’habitat récifal. Les populations d’amphibiens sont globalement sur le déclin. De nombreux facteurs apparaissent ici à l’œuvre. Le changement climatique interviendrait dans le déclenchement de maladies telles que la chytridiomycose*.
*Chytridiomychose : La chytridiomycose est une maladie infectieuse fatale affectant les amphibiens.
La maladie a apparemment déjà affecté 30 % des espèces mondiales d'amphibiens.
Politique du réchauffement climatique
Selon la GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), chaque politique mènera à une différente conséquence du réchauffement climatique (politiques sociales, économiques etc…). Selon eux, la politique la plus favorable au ralentissement de l’effet de serre ne réchauffera la planète que de 2°C maximum d’ici l’année 2100 tandis que celle la moins favorable réchauffera la planète de 4.5°C d’ici l’année 2100.
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