Devoir de philosophie sur Charles Pépin

devoir de philosophie: qu'apprend on vraiment à l'école?

Charles Pepin commence par évoquer «  l ‘école de la vie ». L’école de la vie renvoie à l’ensemble des qualités humaines, des savoirs et des savoirs faire acquis par l’expérience. Mais cette « l’école de la vie » suppose que l’institution nous empenne de connaitre la réalité de la vie.  Comment l’école pourrait nous préparer au monde du travail ? Sa mission est-elle de former des « hommes libres » des «  citoyens éclairés » et des travailleurs qualifiés »et qui respectent nécessairement les lois? Qu’apprend-on vraiment à l’école?

La fonction de l’école est de former des hommes afin qu’il acquirent du contenus des leçons pour qu’ils deviennent des hommes libres des citoyens éclairés et enfin des citoyens. Mais pour que les hommes devient des des hommes éclairé, libre et qualifiés,  l’école doit nous apprendre à maitriser nos premiers désirs et ainsi à développer notre désirs de savoir.

Avant le savoir, l’école nous apprend la discipline

Tout d’abord l’école à pour but de « maitriser notre corps ». Charles Pépins se sert de cette expression en donnant un exemple. Cet exemple est celui d’un enfant qui va pour la première fois de sa vie à l’école, en classe de maternelle. Dès lors de sa rentrée un enfant apprend à maitriser ses désirs car la première chose qu’il veut faire c’est crier pour se faire entendre, parler avec les autres, courir, jouer, parfois pleurer… Mais il doit également faire face à ses angoisses, le fait de ne pas être avec ses parents et être avec de nouvelles personnes. Il est donc contraint à écouter la maitresse et doit écouter les consignes données comme s’assoir. L’école est donc un lieu où on nous apprend dès le plus jeune âge à respecter des consignes ou des règles et ne ne pas succomber à leur désirs ou envie. Les règles données sont légitimes pour un enfant car elles doivent être respectée par l’ensemble du groupe de la classe. L’auteur nous invoque Freud  car selon lui notre vie est marquée par deux principes. Le premier principe est celui de plaisir qui renvoie à la retenu de « l’énergie libidinale ». Le deuxième principe est le principe de réalité marquée par une retenue de notre « énergie libidinale ». L’école nous apprend donc une certaine discipline a appliquée.L’auteur nous parle également de Kant avec sa citation suivante « On envoie les enfants à l’école, non pour qu’ils y apprennent  quelque chose, mais pour qu’ils s’y accoutument à rester tranquillement assis et à observer ponctuellement ce qu’on leur ordonne ». Ce qui signifie bien que l’école nous apprend à respecter des ordres qui sont appliqués à tous.

L’école empêche l’enfant de se considerer plus fort que les autres. L’école permet aux enfants favorisés comme défavorisés d’avoir la chance de réussir. L’enfant est conscient d’avoir un supérieur, son supérieur est sa maitresse est doit respecter ses ordres. Cependant, le respect des règles ne nous prive pas de notre liberté. A l’inverse, elle apprend à l’élève à exercer sa liberté collectivement en faisant en sorte qu’il respecte les autre tout en assouvissant ses propres désirs.

L’enfant peut percevoir l’autorité du maitre comme arbitraire. Cette perception peut avoir de grave conséquences sur l’enfant. D’après Rousseau, si l’enfant remet en question une autorité supérieure, il pourra en garder des traces à vie et développer un état de rebellion voir méfiant à l’égard de toute autorité. Si l’enfant obéissait sans comprendre, il perdrait alors sa liberté, ce qui entrainerait une soumission aveugle. Pour que l’enfant obéisse et soit libre il est essentiel de justifier chacune des règles qui lui sont imposées.

L’école permet de se donner à des occupations comme la reflexion, l’ennuie ou le rêve, qu’on ne pourra faire dans le monde du travail. Selon Kant l’éducation et la discipline sont des besoins nécessaires pour l’homme.  

2. Nous apprenons à l’école à être reconnus.

Le savoir est un processus de reconnaissance en effet lorsque que nous sommes à l’école nous sommes confronté systématiquement aux autres par leurs avis sur nos travaux, nos copies… Ce qui nous pousse à avoir un désir de reconnaissance puisque tout le monde désire d’être reconnu c’est pour cela que nous désirons savoir.

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