Philosophie: Devoir et bonheur
Fiche : Philosophie: Devoir et bonheur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Bruce398 • 8 Décembre 2016 • Fiche • 818 Mots (4 Pages) • 2 448 Vues
Fiche de révision
La morale
Devoir et bonheur :
Auteur sur le devoir et le bonheur : Kant, Hannah Arendt, Alain, Épicure
Introduction :
Il peut paraitre surprenant de relier les deux notions, alors qu’en fait nos devoirs sont austère mais ils ne font pas notre malheur/ils ne nous détruisent pas. De plus les pratiquer peut nous permettre de donner un sens à notre vie.
Simone de Beauvoir montre qu’elle n’est pas d’accord avec ce qu’Aristote appelait la nature humaine : Aristote pensait que des le depart l’homme était programmé pour avoir une nature humaine (l’homme est un animal politique).
Si Dieu n’existe pas, la morale non plus alors?
Si Dieu n’existe l’homme est complètement l’auteur de sa vie, il ne peut s’en prendre qu’à lui si les choses se passent mal. Dieu n’existant pas il n’y a pas de morale en dehors de l’homme d’où l’ambiguité.
Problématique : Est-ce qu’assumer nos devoirs peut nous rendre heureux? Le bonheur est-il l’ennemi du devoir ? Respecter nos devoir favorise t’il un bonheur social?
I La morale est lié chez Kant à la culture morale
Lorsque Kant emploie cette expression il sous entend que part son éducation l’être humain a été élevé pour agir moralement.
Pour Kant quand on éduque un enfant, on lui apprend à developper ce qu’il appelle « une bonne volonté » parce qu’il la distingue de la mauvaise volonté.
il dit qu’une volonté devienne bonne lorsqu’elle devient autonome : par le terme de « bonne volonté »il entend volonté morale. La mauvaise volonté c’est le fait qu’on sache ce qui est bien de faire mais qu’on s’en éloigne volontairement.
Pour Kant il existe deux impératifs. Les impératifs moraux, universel, chaque homme est concerné par ce qu’il est impératif de faire ce qui est morale, et hypothétique qui concerne une situation de vie particulière. On va se poser la question de savoir ce qu’il faut que l’on fasse dans la situation de vie particulière où nous sommes pour agir moralement.
Pour Kant il est important que le but de l’éducation distingue le bien du mal : en effet le bien et le mal ont une valeur objective, c’est pas nous qui inventons ce qui est bien ou mal
II Autonomie de la volonté
Nous avons à apprendre à devenir mature : trop souvent on confond en effet l’autonomie avec l’indépendance et donc avec l’immaturité
L’autonomie c’est la maitrise de soi. Quelqu’un d’autonome c’est quelqu’un qui a des principes. L’autonomie chez Kant c’est un principe moral.
Hannah Arendt a inventé le concept de banalité du mal, or les gens ont fait un contre sens en croyant qu’elle disait que la mal était quelque chose de banal. Elle a voulu montré que notre volonté était parfois soumise à de mauvais principes.
Il peut être surprennent de faire un lien entre la morale et la politique. Elle a voulu montrer que le mal était odieux et qu’il nous fallait apprendre chaque jour à y renoncer pour être heureux. L’intérêt de cette philosophe c’est que dans notre vie nous devons devenir responsable pour ne pas devenir fanatique. Être fanatique c’est être endoctriné (lavage de cerveau).
Le bonheur est lié à nos actes, c’est-à-dire qu’il faut faire dans nos vies la différence entre notre ressentis et notre bonheur
III Devoir d’être heureux
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